Identité
素性 Sujou
素性 Sujou
Nom : Takaigami
Prénom : Mariko
Genre : ♀
Année de naissance : -21 (23 ans)
Signe particulier : Un tatouage qui prend racine sur son sein droit et qui s'étend jusqu'au coude. Il représente un dragon.
Pouvoir : 拡大 Kakudai
Prénom : Mariko
Genre : ♀
Année de naissance : -21 (23 ans)
Signe particulier : Un tatouage qui prend racine sur son sein droit et qui s'étend jusqu'au coude. Il représente un dragon.
Pouvoir : 拡大 Kakudai
Personnalité
人格 Jinkaku
人格 Jinkaku
Opportuniste
"C'est bien là un défaut que j'ai été contrainte de développer..." explique-t-elle à tous ceux qui le lui reprochent. En effet, Mariko n'a jamais réellement eu un mauvais fond et n'a jamais non plus souhaité piquer la place des autres mais forcée a-t-elle été de constater que si elle ne le faisait pas, quelqu'un d'autre le ferait à sa place et souvent à son dépens. Malgré sa croyance en un communautarisme idéal, Mariko est devenue assez individualiste avec le temps et les déceptions sociales qu'elle a connues.
Méfiante
Cela va de pair avec son opportunisme. Après avoir accordé sa confiance à beaucoup trop de profiteurs et personnes indignes, Mariko se méfie à présent de tout le monde. "En même temps, comment faire confiance à son prochain lorsque nous portons tous des armes de guerre à la ceinture ?.." ironise-t-elle souvent. Gagner sa confiance est sans surprise une tâche ardue surtout que celle-ci attend votre premier pas.
Intéressée
Mariko ne veut évidemment plus se faire avoir comme par le passé et être ce qu'on appelle "la bonne poire." De fait, elle n'agit que lorsqu'elle trouve intérêt à participer et qu'elle est sûre d'y gagner. Cela peut tout aussi bien être un intérêt financier comme il peut s'agir d'un bien immatériel.
Reconnaissante
Si d'aventure vous arrivez à prouver votre valeur aux yeux de Mariko vous vous rendrez compte qu'il s'agit d'une femme de confiance dévouée à ses amis et pairs et que tout le reste de son caractère n'est qu'une pure façade, une carapace rigide pour se protéger des dangers.
Déterminée
Têtue et bornée, Mariko ne lâche jamais l'affaire une fois lancée. C'est d'ailleurs sa détermination -en partie- qui lui a permis de prouver sa valeur aux yeux du clan Tsuruki. Sans elle, la jeune femme serait sûrement réduite à n'être qu'une simple vagabonde.
Créative et pleine d'imagination
C'est ici selon elle ce qui fait sa vraie force en tant qu'élue. "A quoi bon la détermination si c'est pour tous se ressembler ?" tient-t-elle en double discours, elle qui conçoit pourtant le monde en un groupement d'archétypes et de clichés. Grâce à ses idées farfelues, Mariko a développé des techniques de combat en corrélation avec ses nouveaux pouvoirs pour se prouver forte et utile aux yeux de son clan.
"C'est bien là un défaut que j'ai été contrainte de développer..." explique-t-elle à tous ceux qui le lui reprochent. En effet, Mariko n'a jamais réellement eu un mauvais fond et n'a jamais non plus souhaité piquer la place des autres mais forcée a-t-elle été de constater que si elle ne le faisait pas, quelqu'un d'autre le ferait à sa place et souvent à son dépens. Malgré sa croyance en un communautarisme idéal, Mariko est devenue assez individualiste avec le temps et les déceptions sociales qu'elle a connues.
Méfiante
Cela va de pair avec son opportunisme. Après avoir accordé sa confiance à beaucoup trop de profiteurs et personnes indignes, Mariko se méfie à présent de tout le monde. "En même temps, comment faire confiance à son prochain lorsque nous portons tous des armes de guerre à la ceinture ?.." ironise-t-elle souvent. Gagner sa confiance est sans surprise une tâche ardue surtout que celle-ci attend votre premier pas.
Intéressée
Mariko ne veut évidemment plus se faire avoir comme par le passé et être ce qu'on appelle "la bonne poire." De fait, elle n'agit que lorsqu'elle trouve intérêt à participer et qu'elle est sûre d'y gagner. Cela peut tout aussi bien être un intérêt financier comme il peut s'agir d'un bien immatériel.
Reconnaissante
Si d'aventure vous arrivez à prouver votre valeur aux yeux de Mariko vous vous rendrez compte qu'il s'agit d'une femme de confiance dévouée à ses amis et pairs et que tout le reste de son caractère n'est qu'une pure façade, une carapace rigide pour se protéger des dangers.
Déterminée
Têtue et bornée, Mariko ne lâche jamais l'affaire une fois lancée. C'est d'ailleurs sa détermination -en partie- qui lui a permis de prouver sa valeur aux yeux du clan Tsuruki. Sans elle, la jeune femme serait sûrement réduite à n'être qu'une simple vagabonde.
Créative et pleine d'imagination
C'est ici selon elle ce qui fait sa vraie force en tant qu'élue. "A quoi bon la détermination si c'est pour tous se ressembler ?" tient-t-elle en double discours, elle qui conçoit pourtant le monde en un groupement d'archétypes et de clichés. Grâce à ses idées farfelues, Mariko a développé des techniques de combat en corrélation avec ses nouveaux pouvoirs pour se prouver forte et utile aux yeux de son clan.
Philosophie
思想 Shisou
思想 Shisou
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Mariko n'en pense rien. La nature a toujours été faite de clans de toute façon : Les loups vivent avec les loups, les chats ne s'acoquinent pas avec les chiens et la jeune femme pense qu'en fin de compte l'être humain n'est pas dans l'erreur à reproduire la nature comme elle l'est. D'ailleurs, la reproduit-il vraiment ou est-ce qu'il la subit tout simplement ?
A propos des clans en eux-mêmes, Mariko est bien heureuse de se compter parmi le clan Tsuruki. Le clan Kodama et ses ambitions lui parlent un peu mais la science reste pour elle plus un loisir et des curiosités qu'un réel devoir et quant aux Shinnins, elle considère leur intérêt pour l'étranger comme une faiblesse vis-à-vis de son clan. C'est peut-être une pensée erronée, mais Mariko s'imagine que s'ils passent plus de temps en dehors d'Asatsuyu no Sato qu'en son sein, c'est parce qu'ils ne peuvent pas le diriger comme le pourraient les Tsurukis et tout ceci en plus d'être des mythomanes aguerris. Entre les scientifiques débordés et ceux qui mentent comme ils respirent, Mariko a fait le bon choix de rejoindre les élites.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
L'enfance de Mariko n'a pas été facile. Fille d'une serveuse et d'un agriculteur, elle se retrouve sans parents à l'âge de six ans seulement. Sa mère fût poignardée alors qu'elle essayait d'interrompre une rixe dans la taverne où elle travaillait et son père mourut les jours qui suivirent alors qu'il essaya de la venger. L'homme responsable de tout cela était un guerrier expérimenté dans l'art du combat et le père de Mariko vint le menacer avec l'un de ses outils de travail. Il se retrouva décapité instantanément après l'avoir dégainé.
Mariko ne sait pas grand chose de tout ça.
Quelques semaines après ce drame le cuisinier au coin de la rue qui tenait son propre petit restaurant la recueillit. Si certains la voyaient comme son commis, ce n'était pas ce que ressentait la fillette. Mais peut-être était-ce à cause de la tristesse qui l'accablait déjà et le besoin, donc, de s'occuper l'esprit ? Au fil du temps, cette idée fût démentie à maintes reprises lorsque tout le monde put constater à quel point le chef l'avait bien instruite et éduquée et surtout comment il s'était occupée d'elle tout simplement.
Malheureusement tout a une fin et Mariko ne le sait d'ailleurs que trop. Déjà bien âgée au moment de l'adopter, l'homme est décédé alors que son apprentie n'avait que quatorze ans. Mort de vieillesse, il a laissé un héritage culinaire et artistique important à Mariko qui, malgré son potentiel certain dans cette voie, s'est engagée dans les rangs de la milice. Personne ne peut cependant lui en vouloir; être cuisinier n'est pas un métier facile aussi facile qu'on ne le croît et elle n'avait, in fine, connu que cela. Animée par une énergie débordante et fascinée depuis toujours par les arts de la guerre et la lutte à mains nues, la jeune adolescente est devenue une artiste martial.
Aujourd'hui, Mariko essaie de se rendre serviable auprès de son clan et s'entraîne farouchement non pas pour espérer vaincre l'invincible champion de l'épreuve, mais pour arriver le plus haut possible dans le classement. On la connaît au sein du clan pour ses talents culinaires et bien évidemment sa bénédiction à laquelle elle n'hésite pas à avoir recours pour préparer ses repas.
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Mariko a d'abord très mal vécu l'apparition de son pouvoir. Mais, pouvait-il en être autrement ? Tandis que certains crachaient des flammes, que d'autres donnaient vie à leurs ombres ou bien réalisaient des choses aussi inédites et invraisemblables, l'orpheline s'est vu avoir un bras pousser au milieu du ventre.
D'abord pointée du doigt et dénommée comme étant une abomination de la nature, Mariko s'est exilée quelques jours afin d'encaisser le choc psychologique et d'avoir le temps d'appréhender la chose.
C'est finalement vers les Tsukuri qu'elle s'est tournée pour résoudre son problème. Les membres du clan l'ont adressée à une personne ayant été recensée avec un pouvoir similaire. Ce dernier expliqua à Mariko comment s'en défaire mais surtout comment le refaire. Ce nouvel apprentissage dura une année entière.
Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?
A l'issue de l'année passée à maîtriser sa bénédiction, la bienveillance de Mariko à l'égard du clan et son dévouement ont fait qu'elle y fût acceptée sans trop de difficultés. Sa créativité et l'acharnement dont elle faisait preuve pour améliorer ses capacités avaient convaincu ses recruteurs. Sans aucun doute, son statut d'élu aida l'intégration.
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'art, la politique, et la culture Tsukuri ?
De la fierté, une identité et un objectif de vie. Comme précédemment expliqué, Mariko croît en les lois de la nature et donc en celle du plus fort. Devenir le meilleur est donc une nécessité que la jeune femme ressent et vit au quotidien. Talentueuse en gastronomie, c'est dans cet art là qu'elle s'illustre le plus.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Regrouper les élus maîtrisant le Kakudai sous un même égide.
2. Se faire anoblir par les Tsukuri et obtenir une place hiérarchique élevée mais avec le moins de responsabilités possible pour être libre un maximum. Mariko aime à s'imaginer comme le lion dans la savane.
3. Devenir non pas un mais une guerrière de légende pour mettre en avant son sexe dans ce monde machiste.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Des nuages couvraient le ciel mais la lune était pleine et rayonnait de tout son être. L'heure du dîner était déjà dépassée de plusieurs heures et Mariko rentrait à peine de sa balade. Comme souvent, la vagabonde s'était aventurée dans les forêts aux alentours du village. C'était une marche qu'elle appréciait beaucoup de par la beauté du paysage et de la nature mais aussi et surtout parce qu'il y avait une auberge d'apparence très sobre mais qui servait de très bon repas.
La lanterne de la jeune femme vacillait de plus en plus et cette dernière craignait devoir finir le trajet dans le noir. Rien de bien méchant pour une soldate en temps normal, mais elle n'avait là que seize ans et n'avait été enrôlée dans la milice que depuis deux ans tout au plus. Plus la luminosité diminuait, plus Mariko gardait alors la main crispée sur le fourreau de son katana. Egalement, la sabreuse en herbe épiait loin devant elle et essayait d'apercevoir quelconque embuscade derrière les troncs d'arbres qui bordaient la route.
Tout se passa finalement sans accrocs malgré l'extinction définitive de sa lanterne et le kilomètre parcouru dans l'obscurité la plus totale.
Cependant, en arrivant à l'auberge de la ceinture noire...
Le bâtiment était simple et classique et ne se démarquait en rien vis-à-vis de tous les autres bâtiments d'Asatsuyu no Sato si ce n'était sa largeur, évidemment plus grande pour accueillir une cinquantaine de personne. La solitude de ce restaurant lui donnait un charme particulier et bien qu'il se trouvait assez loin de la ville, beaucoup d'habitués s'y rendaient fréquemment.
Sauf ce soir-là.
Arrivée à une centaine de mètres du lieu, Mariko entendait des plaintes, des gémissements. Intriguée et ne discernant pourtant rien, elle se précipitait. Mue par son devoir de milicienne, elle craignait le pire et diminuait la distance qui la séparait du restaurant avec un pas pressé. Une fois sur place, elle resta pourtant figée devant le spectacle qui se donnait à elle. Sa lanterne, explosée au sol, témoignait de sa surprise.
Deux femmes, trois hommes. La première s'était évanouie. Mariko ne pouvait pas le savoir, mais elle devinait pourtant à sa chevelure en désordre qu'elle avait été frappée ou bien carrément assommée. La deuxième quant à elle se faisait simplement abuser par deux des hommes tandis que le troisième ricanait à n'en plus pouvoir respirer. Sa besogne accompli, il commença à se rhabiller fièrement et avec une attitude sereine. Son méfait avait été accompli et on pouvait lire à son langage corporel qu'il en tirait une satisfaction profonde.
L'adolescente aux cheveux carmin resta paralysée quelques minutes et observait avec horreur la violence de l'acte interdit. Elle mit fin à son inaction en dégainant son katana.
_Je vais vous émasculer avant de vous trancher la gorge... dit-t-elle à voix basse.
Ces paroles ne lui firent rien ressentir de particulier. La haine qu'elle éprouvait prenait à présent le dessus sur tout le reste. Mariko n'avait encore jamais tué personne -du moins rien d'autre que des poulets pour le restaurant de l'homme qui l'a recueillie- et pourtant elle comptait tenir face à trois gaillards qui n'avaient pas peur de commettre le genre de douleurs qu'ils étaient en train d'infliger.
Sans surprises, ils réagirent aux murmures qu'ils avaient perçus. Aucun d'entre eux n'avait la prétention d'avoir ouïe correctement ses menaces mais ce n'était pas un problème : un dessert plus frais que les deux autres et probablement encore insouillé se présentait à eux.
Ils marchèrent alors lentement vers Mariko après avoir bousculé l'infortunée contre le mur du restaurant depuis lequel on pouvait entendre les shamisens vibrer. L'un d'entre eux n'avait même pas pris le temps de remonter son pantalon, il l'avait laissé là où il l'avait baissé.
Mariko ne bougea pas d'un poil tandis que son front perlait plus qu'il ne l'avait jamais fait. Sa haine et son désir de les tuer s'estompaient bizarrement. Intérieurement, elle essayait à vrai dire de ne pas s'écrouler. Elle attendait quelque chose sans savoir quoi, un signe ou quoi que ce soit qui l'aiderait. Une personne peut-être ?
Rien. Personne ne venait à son secours alors qu'elle allait subir le même sort que les deux autres femmes. Ils allaient bientôt arriver à son niveau. Sans se presser, ils déambulaient à moitié saoul. Leur démarche était inquiétante.
Le pire arriva lorsqu'ils se trouvèrent finalement à son niveau. Avec une voix douce et moqueuse, l'homme défroqué poussa du bout de l'index la lame que Mariko pointait vers lui. Cette dernière n'avait de nouveau pas été en mesure de bouger. Aussitôt fait, il lui flanqua une giflede daron comme elle n'en avait jamais eu. L'impact était si violent et puissant qu'elle chuta sur ses fesses. Et c'est à cet instant qu'il agrippa le bas de son kimono...
_Crève, enfoirééé !!! s'égosilla-t-elle en enfonçant la lame du katana dans son aine.
Une giclée de sang vint lui maquiller le visage. L'homme hurla si fort et si soudainement qu'on put entendre sa voix se casser durant l'effort. Les deux autres furent encore plus étonnés que le premier mais ne laissèrent pas la peur les submerger. Immédiatement, ils menacèrent Mariko de violer son cadavre avant de se diriger vers elle. La soldate se revela rapidement et se mit en garde.
_Fuyez, pauvres fous !!!
Et sur cet avertissement, elle pourfendit le premier de l'épaule jusqu'à la hanche. La réaction de celui-ci fût de se replier sur soi-même; Son cri était intense et son aboi le faisait paraître comme ce qu'il était vraiment : un animal et non plus un être humain. Le son produit était d'ailleurs tout bonnement inhumain et dans un coin de sa tête, la sabreuse s'attribuait une bonne note pour l'efficacité de la coupe même si la situation ne s'y prêtait pas vraiment.
La jeune femme se mit elle aussi à grogner avant de fondre sur le dernier homme. Ce dernier se retrouva avec un bras tranché et un intestin perforé. Ils étaient désormais tous en train de mourir dans d'atroce souffrance.
Mais ce n'était pas ça le véritable événement marquant. Non. Alors que Mariko s'approchait peu après des deux femmes abusées, celle qui était encore consciente lui expliqua qu'elles étaient soeurs et, encore sous le choc, balbutia à leur sauveuse qu'elles venaient de se faire violer. L'orpheline ne pouvait pas comprendre leur douleur mais elle essayait de faire preuve de la plus grande empathie qu'il soit. Elle ne fut cependant pas embarrassée très longtemps puisque dès qu'elle en eut l'occasion, la femme saisit le katana pour assassiner sa soeur et s'ôter la vie ensuite.
Mariko n'en pense rien. La nature a toujours été faite de clans de toute façon : Les loups vivent avec les loups, les chats ne s'acoquinent pas avec les chiens et la jeune femme pense qu'en fin de compte l'être humain n'est pas dans l'erreur à reproduire la nature comme elle l'est. D'ailleurs, la reproduit-il vraiment ou est-ce qu'il la subit tout simplement ?
A propos des clans en eux-mêmes, Mariko est bien heureuse de se compter parmi le clan Tsuruki. Le clan Kodama et ses ambitions lui parlent un peu mais la science reste pour elle plus un loisir et des curiosités qu'un réel devoir et quant aux Shinnins, elle considère leur intérêt pour l'étranger comme une faiblesse vis-à-vis de son clan. C'est peut-être une pensée erronée, mais Mariko s'imagine que s'ils passent plus de temps en dehors d'Asatsuyu no Sato qu'en son sein, c'est parce qu'ils ne peuvent pas le diriger comme le pourraient les Tsurukis et tout ceci en plus d'être des mythomanes aguerris. Entre les scientifiques débordés et ceux qui mentent comme ils respirent, Mariko a fait le bon choix de rejoindre les élites.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
L'enfance de Mariko n'a pas été facile. Fille d'une serveuse et d'un agriculteur, elle se retrouve sans parents à l'âge de six ans seulement. Sa mère fût poignardée alors qu'elle essayait d'interrompre une rixe dans la taverne où elle travaillait et son père mourut les jours qui suivirent alors qu'il essaya de la venger. L'homme responsable de tout cela était un guerrier expérimenté dans l'art du combat et le père de Mariko vint le menacer avec l'un de ses outils de travail. Il se retrouva décapité instantanément après l'avoir dégainé.
Mariko ne sait pas grand chose de tout ça.
Quelques semaines après ce drame le cuisinier au coin de la rue qui tenait son propre petit restaurant la recueillit. Si certains la voyaient comme son commis, ce n'était pas ce que ressentait la fillette. Mais peut-être était-ce à cause de la tristesse qui l'accablait déjà et le besoin, donc, de s'occuper l'esprit ? Au fil du temps, cette idée fût démentie à maintes reprises lorsque tout le monde put constater à quel point le chef l'avait bien instruite et éduquée et surtout comment il s'était occupée d'elle tout simplement.
Malheureusement tout a une fin et Mariko ne le sait d'ailleurs que trop. Déjà bien âgée au moment de l'adopter, l'homme est décédé alors que son apprentie n'avait que quatorze ans. Mort de vieillesse, il a laissé un héritage culinaire et artistique important à Mariko qui, malgré son potentiel certain dans cette voie, s'est engagée dans les rangs de la milice. Personne ne peut cependant lui en vouloir; être cuisinier n'est pas un métier facile aussi facile qu'on ne le croît et elle n'avait, in fine, connu que cela. Animée par une énergie débordante et fascinée depuis toujours par les arts de la guerre et la lutte à mains nues, la jeune adolescente est devenue une artiste martial.
Aujourd'hui, Mariko essaie de se rendre serviable auprès de son clan et s'entraîne farouchement non pas pour espérer vaincre l'invincible champion de l'épreuve, mais pour arriver le plus haut possible dans le classement. On la connaît au sein du clan pour ses talents culinaires et bien évidemment sa bénédiction à laquelle elle n'hésite pas à avoir recours pour préparer ses repas.
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Mariko a d'abord très mal vécu l'apparition de son pouvoir. Mais, pouvait-il en être autrement ? Tandis que certains crachaient des flammes, que d'autres donnaient vie à leurs ombres ou bien réalisaient des choses aussi inédites et invraisemblables, l'orpheline s'est vu avoir un bras pousser au milieu du ventre.
D'abord pointée du doigt et dénommée comme étant une abomination de la nature, Mariko s'est exilée quelques jours afin d'encaisser le choc psychologique et d'avoir le temps d'appréhender la chose.
C'est finalement vers les Tsukuri qu'elle s'est tournée pour résoudre son problème. Les membres du clan l'ont adressée à une personne ayant été recensée avec un pouvoir similaire. Ce dernier expliqua à Mariko comment s'en défaire mais surtout comment le refaire. Ce nouvel apprentissage dura une année entière.
Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?
A l'issue de l'année passée à maîtriser sa bénédiction, la bienveillance de Mariko à l'égard du clan et son dévouement ont fait qu'elle y fût acceptée sans trop de difficultés. Sa créativité et l'acharnement dont elle faisait preuve pour améliorer ses capacités avaient convaincu ses recruteurs. Sans aucun doute, son statut d'élu aida l'intégration.
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'art, la politique, et la culture Tsukuri ?
De la fierté, une identité et un objectif de vie. Comme précédemment expliqué, Mariko croît en les lois de la nature et donc en celle du plus fort. Devenir le meilleur est donc une nécessité que la jeune femme ressent et vit au quotidien. Talentueuse en gastronomie, c'est dans cet art là qu'elle s'illustre le plus.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Regrouper les élus maîtrisant le Kakudai sous un même égide.
2. Se faire anoblir par les Tsukuri et obtenir une place hiérarchique élevée mais avec le moins de responsabilités possible pour être libre un maximum. Mariko aime à s'imaginer comme le lion dans la savane.
3. Devenir non pas un mais une guerrière de légende pour mettre en avant son sexe dans ce monde machiste.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Des nuages couvraient le ciel mais la lune était pleine et rayonnait de tout son être. L'heure du dîner était déjà dépassée de plusieurs heures et Mariko rentrait à peine de sa balade. Comme souvent, la vagabonde s'était aventurée dans les forêts aux alentours du village. C'était une marche qu'elle appréciait beaucoup de par la beauté du paysage et de la nature mais aussi et surtout parce qu'il y avait une auberge d'apparence très sobre mais qui servait de très bon repas.
La lanterne de la jeune femme vacillait de plus en plus et cette dernière craignait devoir finir le trajet dans le noir. Rien de bien méchant pour une soldate en temps normal, mais elle n'avait là que seize ans et n'avait été enrôlée dans la milice que depuis deux ans tout au plus. Plus la luminosité diminuait, plus Mariko gardait alors la main crispée sur le fourreau de son katana. Egalement, la sabreuse en herbe épiait loin devant elle et essayait d'apercevoir quelconque embuscade derrière les troncs d'arbres qui bordaient la route.
Tout se passa finalement sans accrocs malgré l'extinction définitive de sa lanterne et le kilomètre parcouru dans l'obscurité la plus totale.
Cependant, en arrivant à l'auberge de la ceinture noire...
Le bâtiment était simple et classique et ne se démarquait en rien vis-à-vis de tous les autres bâtiments d'Asatsuyu no Sato si ce n'était sa largeur, évidemment plus grande pour accueillir une cinquantaine de personne. La solitude de ce restaurant lui donnait un charme particulier et bien qu'il se trouvait assez loin de la ville, beaucoup d'habitués s'y rendaient fréquemment.
Sauf ce soir-là.
Arrivée à une centaine de mètres du lieu, Mariko entendait des plaintes, des gémissements. Intriguée et ne discernant pourtant rien, elle se précipitait. Mue par son devoir de milicienne, elle craignait le pire et diminuait la distance qui la séparait du restaurant avec un pas pressé. Une fois sur place, elle resta pourtant figée devant le spectacle qui se donnait à elle. Sa lanterne, explosée au sol, témoignait de sa surprise.
Deux femmes, trois hommes. La première s'était évanouie. Mariko ne pouvait pas le savoir, mais elle devinait pourtant à sa chevelure en désordre qu'elle avait été frappée ou bien carrément assommée. La deuxième quant à elle se faisait simplement abuser par deux des hommes tandis que le troisième ricanait à n'en plus pouvoir respirer. Sa besogne accompli, il commença à se rhabiller fièrement et avec une attitude sereine. Son méfait avait été accompli et on pouvait lire à son langage corporel qu'il en tirait une satisfaction profonde.
L'adolescente aux cheveux carmin resta paralysée quelques minutes et observait avec horreur la violence de l'acte interdit. Elle mit fin à son inaction en dégainant son katana.
_Je vais vous émasculer avant de vous trancher la gorge... dit-t-elle à voix basse.
Ces paroles ne lui firent rien ressentir de particulier. La haine qu'elle éprouvait prenait à présent le dessus sur tout le reste. Mariko n'avait encore jamais tué personne -du moins rien d'autre que des poulets pour le restaurant de l'homme qui l'a recueillie- et pourtant elle comptait tenir face à trois gaillards qui n'avaient pas peur de commettre le genre de douleurs qu'ils étaient en train d'infliger.
Sans surprises, ils réagirent aux murmures qu'ils avaient perçus. Aucun d'entre eux n'avait la prétention d'avoir ouïe correctement ses menaces mais ce n'était pas un problème : un dessert plus frais que les deux autres et probablement encore insouillé se présentait à eux.
Ils marchèrent alors lentement vers Mariko après avoir bousculé l'infortunée contre le mur du restaurant depuis lequel on pouvait entendre les shamisens vibrer. L'un d'entre eux n'avait même pas pris le temps de remonter son pantalon, il l'avait laissé là où il l'avait baissé.
Mariko ne bougea pas d'un poil tandis que son front perlait plus qu'il ne l'avait jamais fait. Sa haine et son désir de les tuer s'estompaient bizarrement. Intérieurement, elle essayait à vrai dire de ne pas s'écrouler. Elle attendait quelque chose sans savoir quoi, un signe ou quoi que ce soit qui l'aiderait. Une personne peut-être ?
Rien. Personne ne venait à son secours alors qu'elle allait subir le même sort que les deux autres femmes. Ils allaient bientôt arriver à son niveau. Sans se presser, ils déambulaient à moitié saoul. Leur démarche était inquiétante.
Le pire arriva lorsqu'ils se trouvèrent finalement à son niveau. Avec une voix douce et moqueuse, l'homme défroqué poussa du bout de l'index la lame que Mariko pointait vers lui. Cette dernière n'avait de nouveau pas été en mesure de bouger. Aussitôt fait, il lui flanqua une gifle
_Crève, enfoirééé !!! s'égosilla-t-elle en enfonçant la lame du katana dans son aine.
Une giclée de sang vint lui maquiller le visage. L'homme hurla si fort et si soudainement qu'on put entendre sa voix se casser durant l'effort. Les deux autres furent encore plus étonnés que le premier mais ne laissèrent pas la peur les submerger. Immédiatement, ils menacèrent Mariko de violer son cadavre avant de se diriger vers elle. La soldate se revela rapidement et se mit en garde.
_Fuyez, pauvres fous !!!
Et sur cet avertissement, elle pourfendit le premier de l'épaule jusqu'à la hanche. La réaction de celui-ci fût de se replier sur soi-même; Son cri était intense et son aboi le faisait paraître comme ce qu'il était vraiment : un animal et non plus un être humain. Le son produit était d'ailleurs tout bonnement inhumain et dans un coin de sa tête, la sabreuse s'attribuait une bonne note pour l'efficacité de la coupe même si la situation ne s'y prêtait pas vraiment.
La jeune femme se mit elle aussi à grogner avant de fondre sur le dernier homme. Ce dernier se retrouva avec un bras tranché et un intestin perforé. Ils étaient désormais tous en train de mourir dans d'atroce souffrance.
Mais ce n'était pas ça le véritable événement marquant. Non. Alors que Mariko s'approchait peu après des deux femmes abusées, celle qui était encore consciente lui expliqua qu'elles étaient soeurs et, encore sous le choc, balbutia à leur sauveuse qu'elles venaient de se faire violer. L'orpheline ne pouvait pas comprendre leur douleur mais elle essayait de faire preuve de la plus grande empathie qu'il soit. Elle ne fut cependant pas embarrassée très longtemps puisque dès qu'elle en eut l'occasion, la femme saisit le katana pour assassiner sa soeur et s'ôter la vie ensuite.
Alter ego
分身 Bunshin
分身 Bunshin
Origine de votre avatar ? "Lahoma", O.C. trouvé sur Pinterest.
Comment avez-vous connu le forum ? En googlant "Forum Naruto RPG" et je vous ai trouvé sur la liste naruto-sasuke-jesaispasquoi.
Quel est le nom de votre parrain ? Ameyūri Tengen. Mine de rien, il m'a bien accueilli en privé pour m'expliquer un tas de chose.
Est-ce un changement de personnage ? Non.
Est-ce un deuxième ou triple compte ? Non.
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Je dirais que je le connais à 7,5/10.
Est-ce votre premier forum RPG ? Non.
Autre chose à ajouter ? Un peu de sauce pimentée pour ma pizza hawaïenne.
Comment avez-vous connu le forum ? En googlant "Forum Naruto RPG" et je vous ai trouvé sur la liste naruto-sasuke-jesaispasquoi.
Quel est le nom de votre parrain ? Ameyūri Tengen. Mine de rien, il m'a bien accueilli en privé pour m'expliquer un tas de chose.
Est-ce un changement de personnage ? Non.
Est-ce un deuxième ou triple compte ? Non.
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Je dirais que je le connais à 7,5/10.
Est-ce votre premier forum RPG ? Non.
Autre chose à ajouter ? Un peu de sauce pimentée pour ma pizza hawaïenne.