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Identité
素性 Sujou
素性 Sujou
Nom : Kouchi
Prénom : Futamari
Genre : Homme.
Année de naissance : -20 (22 ans)
Signe particulier : Un masque d'oiseau chelou et une toute petite cicatrice.
Pouvoir : Sogaiton
Prénom : Futamari
Genre : Homme.
Année de naissance : -20 (22 ans)
Signe particulier : Un masque d'oiseau chelou et une toute petite cicatrice.
Pouvoir : Sogaiton
Personnalité
人格 Jinkaku
人格 Jinkaku
Misogyne
Futamari n'est point homme à aimer beaucoup de choses, mais un trait de caractère principal, c'est bien son mépris pour le sexe opposé. Pour des raisons qu'il vous expliquera encore et encore même si vous ne le demandez pas vraiment, c'est quelqu'un qui ne porte pas vraiment les femmes dans son coeur, et même là, désigner ses sentiments envers les femmes de cette façon tient de l'euphémisme.
Le jeune homme ne montre jamais ouvertement son sexisme après. Comme le reste de sa personnalité, il garde toute sa laideur en retrait. Il est plus du genre à mépriser discrètement ou à glisser quelques remarques discrètes à double sens quand il le peut. Il obéit et travaille avec des demoiselles sans broncher même, étant professionnel avec elles comme il est professionnels avec d'autres hommes.
Après, si jamais il est dans une position où il peut dire des trucs dégeux sans se faire punir, il prend une sorte de joie malsaine à tenter de rabaisser les femmes autour de lui, tentant constamment de les énerver, les critiquant sans cesse et invitant les élues du coin à faire des sandwichs et laisser le vrai boulot aux vrais mecs virils. C'est un peu comme un enfant qui se moque d'un autre à une cour de recrée, sauf que c'est un homme adulte qui parle à une autre adulte.
D'ailleurs, là où Kouchi blâme les femmes en permanence et serait prêt à dire du mal de la meilleur de toutes, il est plus chill avec les hommes, faisant ses propres clubs du type "moi et les boys". Que de la manipulation hein, mais vous ne le verrez pas être vicieux avec des hommes comme il l'est avec des femmes... quoi que, si la madame en question est de plus haut rang, tout d'un coup, l'homme au masque sera beaucoup plus poli et respectueux.
Mais il ne s'arrêterait pas qu'aux insultes. Il aime bien s'imaginer en sorte de serial killer qui traque et tue des femmes, par sorte de plaisir sadique. Le but de ces rêveries, c'est surtout d'être dominateur après. Il veut être plus fort, plus rapide et plus doué que ces femmes. Et dans son monde tordu, ça se signifie par le meurtre. Après, par craintes de conséquences, il s'imagine surtout ses crimes, et n'en commet pas, afin d'éviter d'avoir son chemin glorieux fauché en plein vol à cause d'un accident ou deux. Donc, pas de craintes, que du fictif!
Ou pas?
Manipulateur
Futamari est un homme qui connaît bien la musique de la vie en quelque sorte. Il sait bien jouer des notes et comment fare pour être l'ami de tout le monde.
Enfin pour être plus précis, Futamari à une façade de sorte de solitaire au gros coeur, le genre qui dit du mal de ses potes mais à leur dos. Ou il peut être plus ouvertement social. Ou il peut être marrant, qui sait, il peut-même être réconfortant vous savez? Après, ce n'est jamais que le "lui" que les gens veulent voir en ce moment. Ses interactions sont plus fausses que celles de télé-réalité et il en est conscient, mais ne peut pas vraiment réussir à s'en rendre compte.
Il ne comprend pas vraiment le coup des émotions par exemple. Il peut connaître la colère et tout, mais que pour lui. Il à du mal à avoir de la peine pour les autres et ne ressent pas de colère quand quelqu'un d'autre que lui souffre par exemple. Comme beaucoup d'autres choses après, il peut faire semblant. C'est juste qu'il se contente, métaphoriquement parler, de faire du beau jeu d'acteur pour mieux se mettre les gens en poche. Après, il en fait du bon! Il pourrait vous émouvoir une cérémonie d'oscar même (et sans morceaux de rap bizarres).
Futamari voit les gens par utilité ou puissance. Il garde les puissants car ils peuvent l'écraser et les utiles car, bah, ils lui sont utiles. Quand un puissant devient faible ou un utile inutile après, il n'a pas de remords à se débarrasser d'eux ou à simplement les abandonner. Sa "clique", pour ainsi dire, n'est pas fait de gens qu'il aime bien, mais de gens qui servent bien, et c'est quelque chose qu'il souhaite leur cacher.
Colérique
Futamari n'est pas vraiment un modèle de santé mentale. En fait, il est quasiment instable.
Le jeune homme à une tonne de problèmes de comportements qu'il essaye de cacher aux autres, vu que les dits autres n'aimeraient sans doute pas avoir un fou furieux dans leur camp. Du coup, il essaye très, très, très fort d'avoir une façade très détachée et calme, nonchalante même, qui réagit aux évènements divers autour de lui avec une remarque sarcastique et un haussement d'épaule. Être détaché au point de ressembler à un robot est important, et il fait des efforts considérables pour garder sa façade intacte.
Après il le fait souvent via des moyens comme des stress balls ou des mantras, parce que les psychologues (pas que y'en à ici) ou autres, c'est surcôté. Du coup, la moitié du temps, il calme sa rage en la déchaînant sur une pauvre âme qui passait dans le coin, prenant le minimum de précautions nécessaires avant de lancer l'attaque. C'est chiant et ça salie ses vêtements mais c'est mieux que montrer sa rage en public.
Futamari à la colère pas belle. Il hurle, il bave, il roule des eux, il mord, griffe et déchire aussi bien qu'il frappe... c'est une sorte de boule de nerfs permanente toujours à deux doigts de craquer, qui semble avoir un désir particulier de régler ses problèmes d'une façon qui se finit mal pour quelqu'un, même quand il semble pourtant calme. Et son désir de... taper se manifeste particulièrement dans l'aisance avec laquelle il acquiert des rancunes, obtenant des désirs de revanche quasiment psychotiques à partir de rien.
Il adore surtout frapper et être "dominant". Prouver sa supériorité physique lui est important parce qu'il à besoin d'écraser les autres physiquement et mentalement. Il doit agripper leur tête et leur filer plusieurs coups de poings dans les yeux. Il doit briser leurs os d'un seul coup. Parce que sinon, il n'a pas l'impression d'être fort. C'est un peu pour ça qu'il gruge si facilement : être en position de faiblesse l'écoeure totalement, et il refuse absolument de perdre un engagement avec quelqu'un.
Égocentrique
Kouchi aime bien avoir le spotlight sur lui. C'est un fait évident au vu du reste de son comportement! Pour lui, ne pas être au centre de l'attention, c'est impossible! Du coup, ce qu'il fait, c'est qu'il fait son petit intéressant trop d4rk, acceptant aigrement le rôle du type un peu mystérieux qui à un passé sombre et un truc bizarre pour le démarquer du lot.
C'est en partie longée dans l'égocentrisme, en partie logée dans un besoin d'être entouré de gens. Le truc de base, c'est que Futamari aime être regardé par les autres. Et si pour l'instant il est plus judicieux d'être aimé, il aimerait aussi être craint et haï. Après tout, il faut faire des efforts pour être véritablement aimé de quelqu'un. Mais se faire haïr pour l'éternité? Bah, c'est très facile! Et puis, c'est un bon moyen de s'assurer de son héritage continue. La crainte et la haine, ça nourrit tout un héritage.
Futamari pense que se mettre en service de quelqu'un, c'est pour les losers. Du coup, il évite de dire "désolé" ou "pardon", préférant employer des termes différents (pas vulgaires après). Il hait être placé en position d'infériorité en fait. Et le meilleur moyen de se faire haïr à vie, c'est de lui donner l'impression qu'il ne reçoit pas le respect qu'il pense mérité ou lui donner un boulot peu glorieux.
Ambitieux
Futamari se voit au sommet du monde. Il n'a d'yeux que pour le sommet et n'hésitera pas à marcher sur des montagnes de corps pour se faire. Après, ce qui le différencie des autres, c'est qu'il n'a pas d'idée fixe d'ambition. Il ne veut pas atteindre un post précis. Il veut aller quelque part de prestigieux, regarder en haut, et travailler pour atteindre la position encore plus élevée que celle qu'il a.
Il n'est pas satisfait une fois l'excitation du succès retombé pour le faire court. Il faut aller plus haut et plus loin pour son égo et pour qu'il vive confortablement. Les gens qui meurent ou sont affectés négativement par son ascension, il n'en a cure. Le vrai destin de toute personne sur cette pauvre Terre est d'être ignoré par lui ou de l'assister, en quelque sorte, dans sa montée prodigieuse des échelons de la société.
Après Futamari n'a plan concret avec le pouvoir aussi. Il veut juste tout faire pour lui. S'il venait à mourir un jour, il insisterait pour brûler tout ce qu'il détient, afin que personne ne récupère un sou de ce qu'il a acquis. Cette merveilleuse attitude s'applique aussi à son avis des choses qu'il ne peut pas avoir. Si jamais ça ne veut pas lui appartenir, alors que ça brûle. Que ce soit une simple oeuvre d'art ou un village, il s'en fiche. Il voit cette attitude comme une force d'ailleurs, se pensant supérieur par sa capacité à ne pas sentir de remords ou de doutes là où d'autres s'arrêtent éventuellement.
Futamari n'est point homme à aimer beaucoup de choses, mais un trait de caractère principal, c'est bien son mépris pour le sexe opposé. Pour des raisons qu'il vous expliquera encore et encore même si vous ne le demandez pas vraiment, c'est quelqu'un qui ne porte pas vraiment les femmes dans son coeur, et même là, désigner ses sentiments envers les femmes de cette façon tient de l'euphémisme.
Le jeune homme ne montre jamais ouvertement son sexisme après. Comme le reste de sa personnalité, il garde toute sa laideur en retrait. Il est plus du genre à mépriser discrètement ou à glisser quelques remarques discrètes à double sens quand il le peut. Il obéit et travaille avec des demoiselles sans broncher même, étant professionnel avec elles comme il est professionnels avec d'autres hommes.
Après, si jamais il est dans une position où il peut dire des trucs dégeux sans se faire punir, il prend une sorte de joie malsaine à tenter de rabaisser les femmes autour de lui, tentant constamment de les énerver, les critiquant sans cesse et invitant les élues du coin à faire des sandwichs et laisser le vrai boulot aux vrais mecs virils. C'est un peu comme un enfant qui se moque d'un autre à une cour de recrée, sauf que c'est un homme adulte qui parle à une autre adulte.
D'ailleurs, là où Kouchi blâme les femmes en permanence et serait prêt à dire du mal de la meilleur de toutes, il est plus chill avec les hommes, faisant ses propres clubs du type "moi et les boys". Que de la manipulation hein, mais vous ne le verrez pas être vicieux avec des hommes comme il l'est avec des femmes... quoi que, si la madame en question est de plus haut rang, tout d'un coup, l'homme au masque sera beaucoup plus poli et respectueux.
Mais il ne s'arrêterait pas qu'aux insultes. Il aime bien s'imaginer en sorte de serial killer qui traque et tue des femmes, par sorte de plaisir sadique. Le but de ces rêveries, c'est surtout d'être dominateur après. Il veut être plus fort, plus rapide et plus doué que ces femmes. Et dans son monde tordu, ça se signifie par le meurtre. Après, par craintes de conséquences, il s'imagine surtout ses crimes, et n'en commet pas, afin d'éviter d'avoir son chemin glorieux fauché en plein vol à cause d'un accident ou deux. Donc, pas de craintes, que du fictif!
Ou pas?
Manipulateur
Futamari est un homme qui connaît bien la musique de la vie en quelque sorte. Il sait bien jouer des notes et comment fare pour être l'ami de tout le monde.
Enfin pour être plus précis, Futamari à une façade de sorte de solitaire au gros coeur, le genre qui dit du mal de ses potes mais à leur dos. Ou il peut être plus ouvertement social. Ou il peut être marrant, qui sait, il peut-même être réconfortant vous savez? Après, ce n'est jamais que le "lui" que les gens veulent voir en ce moment. Ses interactions sont plus fausses que celles de télé-réalité et il en est conscient, mais ne peut pas vraiment réussir à s'en rendre compte.
Il ne comprend pas vraiment le coup des émotions par exemple. Il peut connaître la colère et tout, mais que pour lui. Il à du mal à avoir de la peine pour les autres et ne ressent pas de colère quand quelqu'un d'autre que lui souffre par exemple. Comme beaucoup d'autres choses après, il peut faire semblant. C'est juste qu'il se contente, métaphoriquement parler, de faire du beau jeu d'acteur pour mieux se mettre les gens en poche. Après, il en fait du bon! Il pourrait vous émouvoir une cérémonie d'oscar même (et sans morceaux de rap bizarres).
Futamari voit les gens par utilité ou puissance. Il garde les puissants car ils peuvent l'écraser et les utiles car, bah, ils lui sont utiles. Quand un puissant devient faible ou un utile inutile après, il n'a pas de remords à se débarrasser d'eux ou à simplement les abandonner. Sa "clique", pour ainsi dire, n'est pas fait de gens qu'il aime bien, mais de gens qui servent bien, et c'est quelque chose qu'il souhaite leur cacher.
Colérique
Futamari n'est pas vraiment un modèle de santé mentale. En fait, il est quasiment instable.
Le jeune homme à une tonne de problèmes de comportements qu'il essaye de cacher aux autres, vu que les dits autres n'aimeraient sans doute pas avoir un fou furieux dans leur camp. Du coup, il essaye très, très, très fort d'avoir une façade très détachée et calme, nonchalante même, qui réagit aux évènements divers autour de lui avec une remarque sarcastique et un haussement d'épaule. Être détaché au point de ressembler à un robot est important, et il fait des efforts considérables pour garder sa façade intacte.
Après il le fait souvent via des moyens comme des stress balls ou des mantras, parce que les psychologues (pas que y'en à ici) ou autres, c'est surcôté. Du coup, la moitié du temps, il calme sa rage en la déchaînant sur une pauvre âme qui passait dans le coin, prenant le minimum de précautions nécessaires avant de lancer l'attaque. C'est chiant et ça salie ses vêtements mais c'est mieux que montrer sa rage en public.
Futamari à la colère pas belle. Il hurle, il bave, il roule des eux, il mord, griffe et déchire aussi bien qu'il frappe... c'est une sorte de boule de nerfs permanente toujours à deux doigts de craquer, qui semble avoir un désir particulier de régler ses problèmes d'une façon qui se finit mal pour quelqu'un, même quand il semble pourtant calme. Et son désir de... taper se manifeste particulièrement dans l'aisance avec laquelle il acquiert des rancunes, obtenant des désirs de revanche quasiment psychotiques à partir de rien.
Il adore surtout frapper et être "dominant". Prouver sa supériorité physique lui est important parce qu'il à besoin d'écraser les autres physiquement et mentalement. Il doit agripper leur tête et leur filer plusieurs coups de poings dans les yeux. Il doit briser leurs os d'un seul coup. Parce que sinon, il n'a pas l'impression d'être fort. C'est un peu pour ça qu'il gruge si facilement : être en position de faiblesse l'écoeure totalement, et il refuse absolument de perdre un engagement avec quelqu'un.
Égocentrique
Kouchi aime bien avoir le spotlight sur lui. C'est un fait évident au vu du reste de son comportement! Pour lui, ne pas être au centre de l'attention, c'est impossible! Du coup, ce qu'il fait, c'est qu'il fait son petit intéressant trop d4rk, acceptant aigrement le rôle du type un peu mystérieux qui à un passé sombre et un truc bizarre pour le démarquer du lot.
C'est en partie longée dans l'égocentrisme, en partie logée dans un besoin d'être entouré de gens. Le truc de base, c'est que Futamari aime être regardé par les autres. Et si pour l'instant il est plus judicieux d'être aimé, il aimerait aussi être craint et haï. Après tout, il faut faire des efforts pour être véritablement aimé de quelqu'un. Mais se faire haïr pour l'éternité? Bah, c'est très facile! Et puis, c'est un bon moyen de s'assurer de son héritage continue. La crainte et la haine, ça nourrit tout un héritage.
Futamari pense que se mettre en service de quelqu'un, c'est pour les losers. Du coup, il évite de dire "désolé" ou "pardon", préférant employer des termes différents (pas vulgaires après). Il hait être placé en position d'infériorité en fait. Et le meilleur moyen de se faire haïr à vie, c'est de lui donner l'impression qu'il ne reçoit pas le respect qu'il pense mérité ou lui donner un boulot peu glorieux.
Ambitieux
Futamari se voit au sommet du monde. Il n'a d'yeux que pour le sommet et n'hésitera pas à marcher sur des montagnes de corps pour se faire. Après, ce qui le différencie des autres, c'est qu'il n'a pas d'idée fixe d'ambition. Il ne veut pas atteindre un post précis. Il veut aller quelque part de prestigieux, regarder en haut, et travailler pour atteindre la position encore plus élevée que celle qu'il a.
Il n'est pas satisfait une fois l'excitation du succès retombé pour le faire court. Il faut aller plus haut et plus loin pour son égo et pour qu'il vive confortablement. Les gens qui meurent ou sont affectés négativement par son ascension, il n'en a cure. Le vrai destin de toute personne sur cette pauvre Terre est d'être ignoré par lui ou de l'assister, en quelque sorte, dans sa montée prodigieuse des échelons de la société.
Après Futamari n'a plan concret avec le pouvoir aussi. Il veut juste tout faire pour lui. S'il venait à mourir un jour, il insisterait pour brûler tout ce qu'il détient, afin que personne ne récupère un sou de ce qu'il a acquis. Cette merveilleuse attitude s'applique aussi à son avis des choses qu'il ne peut pas avoir. Si jamais ça ne veut pas lui appartenir, alors que ça brûle. Que ce soit une simple oeuvre d'art ou un village, il s'en fiche. Il voit cette attitude comme une force d'ailleurs, se pensant supérieur par sa capacité à ne pas sentir de remords ou de doutes là où d'autres s'arrêtent éventuellement.
Philosophie
思想 Shisou
思想 Shisou
Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?
Pas de façon très épique. Il a été remarqué jeune et à été approché. Pas de suite, après, mais vers ses 14 ans il à été "invité", en tant que membre de base.
On l'a approché, en tant que jeune homme normal, et on à joué sur ses rêves. On lui a promis des alliés, la capacité de gagner de l'argent et un statut potentiellement prominent s'il joue bien ses cartes, et il à accepté directement. Heureusement pour lui, le clan semblait ne pas être au courant de son côté moins...attractif, et, paranoïaque qu'il était, il se dit qu'il ferait mieux de le cacher. Aussi, il devint le plus grand lèche-botte de Kusa No Kuni, un véritable larbin qui construirait des temples sacrés pour ses maîtres si seulement il avait le temps et les moyens.
Rien qui ne trompe ces derniers après, mais le recrutement se fit quand même de façon relativement fluide. On testa ses compétences actuelles et il fut choisi. Simple.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Il serait facile de prétendre que Futamari s'en fout des autres clans et veut juste tout avoir pour lui, mais en vérité, ignorer les clans et comment ils marchent par arrogance, c'est con. Et il est beaucoup de choses (pas très flatteuses), mais il n'est certainement pas un simple débile.
Les Shinnin l'emploie.. Il devrait leur être reconnaissant, mais il s'en fout pas mal de ça. Après, il se soucie d'eux, mais seulement parce qu'il faut bien que le clan l'aime pour qu'il progresse dans les échelons. Aussi, avec ses camarades de clan, il est loyal, poli, pas du type à contester des ordres raisonnables, etc. Il compte bien prendre la tête du groupe après, donc il ne se soucie pas d'éliminer des "rivaux". De son point de vue, leur but est louable, mais ils feraient mieux de tout pomper hors des proles au lieu de se soucier de ce que mr.tout-le-monde pense de ses employeurs. Avec la bonne main d'oeuvre, il n'y aura pas de seconde fois. Au pire, il se barra avec l'argent et ira mourir dans une île paradisiaque.
Les Tsukuri sont des crétins hautains (ça rhyme!). Il n'aime pas trop l'art et pense qu'un groupe qui à apporté sa propre perte ne devrait pas même rêver d'être un clan de leaders. Il voit tout les Tsukuris sous une lueur négative, comme des bobos qui se posent sur leur petite stèle pour mieux le jauger. Il prend particulièrement les Tsukuris femmes en horreur, parce que de son point de vue, elles se sont juste mariées avec des mecs pour atteindre leur position (ou sont les enfants des nobles). Du coup, s'il est poli quand il le peut, il aimerait bien les faire dégager de leur maison ancestrale pour l'inhabiter à la place.
Il se moque bien des Kodamas. Main d'oeuvre glorifiée.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Personne ne connait vraiment le père de Futamari. D'après les dires, c'était un fuyard qui se cachait à Kusa pour fuir son passé. Il croisa Yuuka, une infirmière, la fit tomber amoureuse de lui, la mit enceinte et entreprit ensuite de partir juste avant la naissance de Futamari. Cette dernière fut donc laissée seul avec un enfant, ce qui ne la découragea toutefois pas : elle allait l'élever et attendre que le papa "revienne", comme elle insistait.
Le stress de s'occuper d'un enfant, le choc d'être abandonnée et ses propres responsabilités poussa toutefois Yuuka à devenir un peu... bizarre. Rapidement, elle devint très, très protectrice de son enfant, refusant de le laisser sortir et prenant des mesures extrêmes pour le protéger contre un danger imaginaire. Vers les trois ans de Futamari, elle se saisit de lui alors qu'il dormait (avec assez de force pour laisser des marques), le mit dans un panier et entreprit de commencer à sortir du village, afin de se lancer dans une aventure pour retrouver le père.
Elle fut repérée rapidement, et séparée de l'enfant à temps. L'enfant fut marqué par l'affaire, mais la vie décida de lui donner une chance sous la forme de parents d'adoption bienveillants. Conscient des traumatismes présents chez l'enfant, ils furent très patients avec lui et tentèrent de lui donner les moyens de surmonter les épreuves compliquées qu'il avait du affronter. "Officiellement", ils réussirent, et Futamari redevint un petit garçon heureux. La vérité était un peu plus complexe : assez tôt, Futamari montra des signes de personnalité assez troublants, mais ses parents adoptifs, convaincus que c'était né de son traumatisme, furent convaincus que cela partirait bien assez tôt.
En tant qu'enfant, Futamari était populaire, poli, doué et intelligent, mais aussi constamment troublé et toujours un peu en train de se plaindre ou de faire des petites déprimes. Jamais satisfait quand l'attention était ailleurs que sur lui toutefois, bien des adultes réussirent à déceler son petit jeu, partageant leurs craintes avec ses parents adoptifs. Ces derniers acceptèrent les rendez-vous, prirent des discussions avec leurs profs, les écoutèrent, puis entreprirent de tout oublier avant de caser la tête dans le sable, figurativement.
Quand Kouchi montra des certains talents, il fut recherché par des gens... intéressés, un peu vers son adolescence. Aigre à progresser dans la vie, il dit au revoir à ses parents et partit rejoindre le clan Shinnin, où il eut une méchante réalisation : si, dans son ancien petit monde, il était un big boss, au sein du clan, il n'était vraiment qu'un parmi tant d'autres. Un poisson tiré hors de son petit étang pour être placé dans l'océan. Et pour le jeune homme, c'était impensable qu'il soit réduit au rôle de simple figurant.
Il enfila un masque (pour cacher une cicatrice, ou pour masquer son identité, tant de raisons bidons), il fit son petit numéro socialite, il utilisa ses dons sociaux... Futamari fit de son mieux pour s'intégrer dans le clan et être remarqué parmi ses pairs. Une opération à moitié réussie après. Il faut dire que le clan s'attendait à plus que ça pour être reconnu. Mais, du point de vue de Futamari, il avait réussi.
Et puis vint très récemment ses pouvoirs, il y'a un an, qui attira encore plus d'attention de la part du clan. Une bonne nouvelle pour quelqu'un comme lui en somme.
Ce qui compte maintenant, c'est de réussir pour de bon et avoir le jackpot, en prenant la place des vieux croutons au sommet!
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Bien. Les pouvoirs comme ça, ça attire l'attention. Quoi de mieux pour quelqu'un comme lui qu'un truc qui garantit qu'on ira le regarder? Il faudrait être idiot pour regretter cette chance d'être unique parmi les masses. Et notre cher Futamari fut donc bien heureux d'apprendre sa capacité à créer des chaînes pour restreindre.
Après il veut plus de ce pouvoir bien sûr. De plus grosses chaînes, la capacité de restreindre plus de monde, etc. Il en est bien fier d'ailleurs aussi. Car quoi de mieux pour lui qu'un pouvoir qui bloque, ralentit et place quelqu'un sous son entière
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?
L'argent c'est la vie, poto.
Alors oui, on te dira "l'argent ne fait pas tout" ou "l'argent n'achète pas le bonheur" mais qui dit ça? Le SDF sous le pont? Le père de famille à trois enfants dans son appartement une pièce? Non, non. L'argent c'est tout. Et Futamari n'est pas comme eux. Il ne va pas juste se contenter de travailler pour obtenir maigre argent qui sera promptement englouti par les dettes. Il veut avoir TOUT le fric. Il veut regarder ces sales débiles vociférer leurs nullités de pauvres minables perdants, lever la botte, et les écraser! Il VIT pour avoir du pouvoir et le pouvoir, s'il à trouvé une façon plus simple d'être manié (dur de dire non à quelqu'un qui crache des super boules de feu), c'est l'argent.
Aussi il est méprisant avec les démunis, même s'il à évolué avec eux. Quand il veut bien se présenter à quelqu'un après, il est poli avec ces derniers (généreux s'il le doit). Mais après, quand il se sent particulièrement vener, bah, un clodo ou deux de perdus, ça ne se remarque pas nan? Sa haine sincère contre les personnes sans abris est un peu tirée de la peur, aussi. Il craint d'être dans cet état un jour. Seul, affamé, vivant selon la bonté des gens (inexistante, d'après notre edgelord favori). Il a une peur sincère de finir comme ça, et chaque sans abri qu'il croise, pour lui, c'est un "soi" futur.
Les coups fourrés bah... c'est la vie, hein. Oh, on lui dira l'opposé et tout, mais on peut être honorable ou on peut gagner, pas vrai? C'est un peu son style les coups bas. Si Futamari vous invite à se battre, alors il prépare un coup, par exemple. En fait, il adore tellement les coups fourrés que c'est rare qu'il n'en ait pas un préparé quand il vous approche, jusque au cas où.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Devenir chef du village.
2. Mener une vie philistine idéale et décadente.
3.Se venger sur Maman Satisfaire ses basses urges.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Il n'avait pas de place pour étirer les jambes ni même les bras, et l'endroit lui permettait à peine de bouger la tête. Pas qu'il ne veuille vraiment le faire, de toute façon : Les murs autour de lui étaient rugueux et irritaient sa peau fragile, et il sentait que bouger ne ferait que tout empirer. Et puis, il avait besoin d'être recroqueviller vu qu'il faisait froid dehors. Ses vêtements blancs, à son grand malheur, n'étaient d'ailleurs pas vraiment d'aide pour lutter contre le froid.
Maman!
Il ne savait pas où il se trouvait, mais c'était très... mobile. L'enfant était balancé dans sa petite prison à chaque mouvement que faisait la personne qui transportait la dite prison. Son petit monde tout sombre prenait des couleurs de plus en plus bizarre alors que la nausée le guettait, mais pourtant, il ne pouvait guère tenter de s'accrocher à quoi que ce soit, tout chétif qu'il était.
Il aurait aimé faire quelque chose contre ça d'ailleurs, mais plus que l'espace étroit, la terreur l'empêchait de faire quoi que ce soit. Il lui était Impossible de bouger des bras qui semblaient peser plusieurs tonnes en plus d'être tout froids, et l'air semblait à peine passer dans sa gorge, l'empêchant de respirer. Quand il fut violemment expulsé hors des ténèbres, quand sa prison s'ouvrit soudainement, l'expérience ne devint pas vraiment mieux. Son corps roula sur un sol couvert de boue, et il ne put qu'agiter des membres maintenant libres, ses jambes et ses bras s'agitant dans le vide dans ce qui s'apparentait à un spasme.
Puis, il sentit du mouvement à côté de lui, et bougea finalement la tête vers la droite, apercevant un visage.
Deux grandes iris noirs le fixent, surmontant un sourire si grand qu'il jure qu'il va jusqu'aux dents. Des cheveux de jais dissimulent difficilement une affreuse grimace et une peau très pâle mais couverte de boues et de quelques griffures. La femme est penchée sur lui de façon tellement proche qu'il peut presque sentir son haleine!
Allez, relève toi Futamari! On va fuir ensemble!
Sa broie d'acier se referme sur le bras de son fils, et ne le lâche pas, même alors que des passants tentent de l'intercepter. La pression sur le bras de Futamari ne cesse qu'après quinze secondes, tant il faut de gens pour la contenir et, craintif, il lève la tête pour voir sa mère, restreinte par à peu près 9 personnes, toujours en train de lever le bras dans sa direction, l'agitant vainement envers son fils, des propos incohérents échappant sa bouche alors qu'elle est éloignée encore plus de son fils.
Et lui ne peut pas s'empêcher de regarder. Même alors qu'il est lui même éloigné du lieu du crime. Et, d'une certaine façon, il n'a jamais vraiment cessé de regarder... du moins dans son esprit.
Pas de façon très épique. Il a été remarqué jeune et à été approché. Pas de suite, après, mais vers ses 14 ans il à été "invité", en tant que membre de base.
On l'a approché, en tant que jeune homme normal, et on à joué sur ses rêves. On lui a promis des alliés, la capacité de gagner de l'argent et un statut potentiellement prominent s'il joue bien ses cartes, et il à accepté directement. Heureusement pour lui, le clan semblait ne pas être au courant de son côté moins...attractif, et, paranoïaque qu'il était, il se dit qu'il ferait mieux de le cacher. Aussi, il devint le plus grand lèche-botte de Kusa No Kuni, un véritable larbin qui construirait des temples sacrés pour ses maîtres si seulement il avait le temps et les moyens.
Rien qui ne trompe ces derniers après, mais le recrutement se fit quand même de façon relativement fluide. On testa ses compétences actuelles et il fut choisi. Simple.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Il serait facile de prétendre que Futamari s'en fout des autres clans et veut juste tout avoir pour lui, mais en vérité, ignorer les clans et comment ils marchent par arrogance, c'est con. Et il est beaucoup de choses (pas très flatteuses), mais il n'est certainement pas un simple débile.
Les Shinnin l'emploie.. Il devrait leur être reconnaissant, mais il s'en fout pas mal de ça. Après, il se soucie d'eux, mais seulement parce qu'il faut bien que le clan l'aime pour qu'il progresse dans les échelons. Aussi, avec ses camarades de clan, il est loyal, poli, pas du type à contester des ordres raisonnables, etc. Il compte bien prendre la tête du groupe après, donc il ne se soucie pas d'éliminer des "rivaux". De son point de vue, leur but est louable, mais ils feraient mieux de tout pomper hors des proles au lieu de se soucier de ce que mr.tout-le-monde pense de ses employeurs. Avec la bonne main d'oeuvre, il n'y aura pas de seconde fois. Au pire, il se barra avec l'argent et ira mourir dans une île paradisiaque.
Les Tsukuri sont des crétins hautains (ça rhyme!). Il n'aime pas trop l'art et pense qu'un groupe qui à apporté sa propre perte ne devrait pas même rêver d'être un clan de leaders. Il voit tout les Tsukuris sous une lueur négative, comme des bobos qui se posent sur leur petite stèle pour mieux le jauger. Il prend particulièrement les Tsukuris femmes en horreur, parce que de son point de vue, elles se sont juste mariées avec des mecs pour atteindre leur position (ou sont les enfants des nobles). Du coup, s'il est poli quand il le peut, il aimerait bien les faire dégager de leur maison ancestrale pour l'inhabiter à la place.
Il se moque bien des Kodamas. Main d'oeuvre glorifiée.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Personne ne connait vraiment le père de Futamari. D'après les dires, c'était un fuyard qui se cachait à Kusa pour fuir son passé. Il croisa Yuuka, une infirmière, la fit tomber amoureuse de lui, la mit enceinte et entreprit ensuite de partir juste avant la naissance de Futamari. Cette dernière fut donc laissée seul avec un enfant, ce qui ne la découragea toutefois pas : elle allait l'élever et attendre que le papa "revienne", comme elle insistait.
Le stress de s'occuper d'un enfant, le choc d'être abandonnée et ses propres responsabilités poussa toutefois Yuuka à devenir un peu... bizarre. Rapidement, elle devint très, très protectrice de son enfant, refusant de le laisser sortir et prenant des mesures extrêmes pour le protéger contre un danger imaginaire. Vers les trois ans de Futamari, elle se saisit de lui alors qu'il dormait (avec assez de force pour laisser des marques), le mit dans un panier et entreprit de commencer à sortir du village, afin de se lancer dans une aventure pour retrouver le père.
Elle fut repérée rapidement, et séparée de l'enfant à temps. L'enfant fut marqué par l'affaire, mais la vie décida de lui donner une chance sous la forme de parents d'adoption bienveillants. Conscient des traumatismes présents chez l'enfant, ils furent très patients avec lui et tentèrent de lui donner les moyens de surmonter les épreuves compliquées qu'il avait du affronter. "Officiellement", ils réussirent, et Futamari redevint un petit garçon heureux. La vérité était un peu plus complexe : assez tôt, Futamari montra des signes de personnalité assez troublants, mais ses parents adoptifs, convaincus que c'était né de son traumatisme, furent convaincus que cela partirait bien assez tôt.
En tant qu'enfant, Futamari était populaire, poli, doué et intelligent, mais aussi constamment troublé et toujours un peu en train de se plaindre ou de faire des petites déprimes. Jamais satisfait quand l'attention était ailleurs que sur lui toutefois, bien des adultes réussirent à déceler son petit jeu, partageant leurs craintes avec ses parents adoptifs. Ces derniers acceptèrent les rendez-vous, prirent des discussions avec leurs profs, les écoutèrent, puis entreprirent de tout oublier avant de caser la tête dans le sable, figurativement.
Quand Kouchi montra des certains talents, il fut recherché par des gens... intéressés, un peu vers son adolescence. Aigre à progresser dans la vie, il dit au revoir à ses parents et partit rejoindre le clan Shinnin, où il eut une méchante réalisation : si, dans son ancien petit monde, il était un big boss, au sein du clan, il n'était vraiment qu'un parmi tant d'autres. Un poisson tiré hors de son petit étang pour être placé dans l'océan. Et pour le jeune homme, c'était impensable qu'il soit réduit au rôle de simple figurant.
Il enfila un masque (pour cacher une cicatrice, ou pour masquer son identité, tant de raisons bidons), il fit son petit numéro socialite, il utilisa ses dons sociaux... Futamari fit de son mieux pour s'intégrer dans le clan et être remarqué parmi ses pairs. Une opération à moitié réussie après. Il faut dire que le clan s'attendait à plus que ça pour être reconnu. Mais, du point de vue de Futamari, il avait réussi.
Et puis vint très récemment ses pouvoirs, il y'a un an, qui attira encore plus d'attention de la part du clan. Une bonne nouvelle pour quelqu'un comme lui en somme.
Ce qui compte maintenant, c'est de réussir pour de bon et avoir le jackpot, en prenant la place des vieux croutons au sommet!
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Bien. Les pouvoirs comme ça, ça attire l'attention. Quoi de mieux pour quelqu'un comme lui qu'un truc qui garantit qu'on ira le regarder? Il faudrait être idiot pour regretter cette chance d'être unique parmi les masses. Et notre cher Futamari fut donc bien heureux d'apprendre sa capacité à créer des chaînes pour restreindre.
Après il veut plus de ce pouvoir bien sûr. De plus grosses chaînes, la capacité de restreindre plus de monde, etc. Il en est bien fier d'ailleurs aussi. Car quoi de mieux pour lui qu'un pouvoir qui bloque, ralentit et place quelqu'un sous son entière
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?
L'argent c'est la vie, poto.
Alors oui, on te dira "l'argent ne fait pas tout" ou "l'argent n'achète pas le bonheur" mais qui dit ça? Le SDF sous le pont? Le père de famille à trois enfants dans son appartement une pièce? Non, non. L'argent c'est tout. Et Futamari n'est pas comme eux. Il ne va pas juste se contenter de travailler pour obtenir maigre argent qui sera promptement englouti par les dettes. Il veut avoir TOUT le fric. Il veut regarder ces sales débiles vociférer leurs nullités de pauvres minables perdants, lever la botte, et les écraser! Il VIT pour avoir du pouvoir et le pouvoir, s'il à trouvé une façon plus simple d'être manié (dur de dire non à quelqu'un qui crache des super boules de feu), c'est l'argent.
Aussi il est méprisant avec les démunis, même s'il à évolué avec eux. Quand il veut bien se présenter à quelqu'un après, il est poli avec ces derniers (généreux s'il le doit). Mais après, quand il se sent particulièrement vener, bah, un clodo ou deux de perdus, ça ne se remarque pas nan? Sa haine sincère contre les personnes sans abris est un peu tirée de la peur, aussi. Il craint d'être dans cet état un jour. Seul, affamé, vivant selon la bonté des gens (inexistante, d'après notre edgelord favori). Il a une peur sincère de finir comme ça, et chaque sans abri qu'il croise, pour lui, c'est un "soi" futur.
Les coups fourrés bah... c'est la vie, hein. Oh, on lui dira l'opposé et tout, mais on peut être honorable ou on peut gagner, pas vrai? C'est un peu son style les coups bas. Si Futamari vous invite à se battre, alors il prépare un coup, par exemple. En fait, il adore tellement les coups fourrés que c'est rare qu'il n'en ait pas un préparé quand il vous approche, jusque au cas où.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Devenir chef du village.
2. Mener une vie philistine idéale et décadente.
3.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Il n'avait pas de place pour étirer les jambes ni même les bras, et l'endroit lui permettait à peine de bouger la tête. Pas qu'il ne veuille vraiment le faire, de toute façon : Les murs autour de lui étaient rugueux et irritaient sa peau fragile, et il sentait que bouger ne ferait que tout empirer. Et puis, il avait besoin d'être recroqueviller vu qu'il faisait froid dehors. Ses vêtements blancs, à son grand malheur, n'étaient d'ailleurs pas vraiment d'aide pour lutter contre le froid.
Maman!
Il ne savait pas où il se trouvait, mais c'était très... mobile. L'enfant était balancé dans sa petite prison à chaque mouvement que faisait la personne qui transportait la dite prison. Son petit monde tout sombre prenait des couleurs de plus en plus bizarre alors que la nausée le guettait, mais pourtant, il ne pouvait guère tenter de s'accrocher à quoi que ce soit, tout chétif qu'il était.
Il aurait aimé faire quelque chose contre ça d'ailleurs, mais plus que l'espace étroit, la terreur l'empêchait de faire quoi que ce soit. Il lui était Impossible de bouger des bras qui semblaient peser plusieurs tonnes en plus d'être tout froids, et l'air semblait à peine passer dans sa gorge, l'empêchant de respirer. Quand il fut violemment expulsé hors des ténèbres, quand sa prison s'ouvrit soudainement, l'expérience ne devint pas vraiment mieux. Son corps roula sur un sol couvert de boue, et il ne put qu'agiter des membres maintenant libres, ses jambes et ses bras s'agitant dans le vide dans ce qui s'apparentait à un spasme.
Puis, il sentit du mouvement à côté de lui, et bougea finalement la tête vers la droite, apercevant un visage.
Deux grandes iris noirs le fixent, surmontant un sourire si grand qu'il jure qu'il va jusqu'aux dents. Des cheveux de jais dissimulent difficilement une affreuse grimace et une peau très pâle mais couverte de boues et de quelques griffures. La femme est penchée sur lui de façon tellement proche qu'il peut presque sentir son haleine!
Allez, relève toi Futamari! On va fuir ensemble!
Sa broie d'acier se referme sur le bras de son fils, et ne le lâche pas, même alors que des passants tentent de l'intercepter. La pression sur le bras de Futamari ne cesse qu'après quinze secondes, tant il faut de gens pour la contenir et, craintif, il lève la tête pour voir sa mère, restreinte par à peu près 9 personnes, toujours en train de lever le bras dans sa direction, l'agitant vainement envers son fils, des propos incohérents échappant sa bouche alors qu'elle est éloignée encore plus de son fils.
Et lui ne peut pas s'empêcher de regarder. Même alors qu'il est lui même éloigné du lieu du crime. Et, d'une certaine façon, il n'a jamais vraiment cessé de regarder... du moins dans son esprit.
Alter ego
分身 Bunshin
分身 Bunshin
Origine de votre avatar ? Overhaul, My Hero Academia
Comment avez-vous connu le forum ? J'ai reçu un mp discord lol
Quel est le nom de votre parrain ? Yagyu Sadaharu
Est-ce un changement de personnage ? non
Est-ce un deuxième ou triple compte ? non
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? oui
Est-ce votre premier forum RPG ? non
Autre chose à ajouter ? je tem kalin ;3
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