Accueil
Identité
素性 Sujou
素性 Sujou
Nom : Wén.
Prénom : Yeosin.
Genre : Féminin.
Année de naissance : -25 ; 27 ans.
Signe particulier : Son dos est marqué par un tatouage ; un vestige du passé.
Pouvoir : Kamizuru
Prénom : Yeosin.
Genre : Féminin.
Année de naissance : -25 ; 27 ans.
Signe particulier : Son dos est marqué par un tatouage ; un vestige du passé.
Pouvoir : Kamizuru
Personnalité
人格 Jinkaku
人格 Jinkaku
Pythie
Yeosin a offert sa fidélité aux Kami de ce monde. Sa chasteté est scellée au travers d’un voeu inviolable. La pureté de son caractère est aussi éclatant que sa beauté naturelle. Désintéressée, les vains plaisirs de ce monde ne l’intéresse aucunement. Seule la possibilité d’une vie après la mort, d’un El Dorado où son âme trouvera la paix, motive ses actes.
Justicière
La recrudescence des crimes au sein de la Ceinture Noire lui ont fait avoir une révélation. Cette ancienne Yakuza, s’étant reconvertie dans le rôle de dévote pour la forêt blanche, ne put que se liguer du côté du Gardien, Jin. Yeosin a foi en la justice et en l’ordre. Les hommes ne peuvent être placer au dessus des femmes. L’Humanité ne peut se permettre d’agir sans craindre aucune répercussion : le passé suffit comme exemple concret.
La Wén se place comme l’écu protégeant les faibles. Toutefois, elle ne tombe pas dans de possible travers. Bienveillance et empathie sont les maîtres mots de sa philosophie.
Révolutionnaire
Analphabète, Yeosin se bat pour l’essor de la Ceinture Noire. Bien que condamnable, ce que disent les véhéments Tsukuri, au sujet de la plèbe, est vrai. Les indigents se confortent dans leur pauvreté et recherche la facilité plutôt que la difficulté. Il est plus simple de vendre la mort – ou son corps – plutôt que de chercher à s’élever de manière saine dans Asatsuyu.
Yeosin le sait et le comprend, elle-même fut Yakuza, il y a de ça quelques années maintenant. Si elle a reprit les armes, c’est pour mettre un coup de pied dans la fourmilière. L’asservissement du bas-peuple doit prendre fin. Plus de délits, de crime, de prostitution ou encore de trafic. L’usage de la force se doit d’être utilisée en dernier recours.
Pieuse
Un électrochoc. Voilà ce qu’elle ressenti lorsque la foi pénétra son cœur. Véritable prêtresse de la forêt blanche, elle y passe le plus clair de son temps. Yeosin se sent accabler d’une mission divine, une mission qui l’englobe et en même temps la dépasse. Connectée de manière spirituelle à la forêt blanche, elle a tissé un lien unique avec la nature – la flore uniquement. Il n’est pas rare qu’elle soit prise de vision lors de ses rêves.
Si la Wén est dévouée à sa patrie, elle l’est encore plus quand il s’agit de faire la dévote. Elle cherche à atteindre l’idéal, l’excellence : ce qui sera en mesure de lui ouvrir les portes du paradis.
Yeosin a offert sa fidélité aux Kami de ce monde. Sa chasteté est scellée au travers d’un voeu inviolable. La pureté de son caractère est aussi éclatant que sa beauté naturelle. Désintéressée, les vains plaisirs de ce monde ne l’intéresse aucunement. Seule la possibilité d’une vie après la mort, d’un El Dorado où son âme trouvera la paix, motive ses actes.
Justicière
La recrudescence des crimes au sein de la Ceinture Noire lui ont fait avoir une révélation. Cette ancienne Yakuza, s’étant reconvertie dans le rôle de dévote pour la forêt blanche, ne put que se liguer du côté du Gardien, Jin. Yeosin a foi en la justice et en l’ordre. Les hommes ne peuvent être placer au dessus des femmes. L’Humanité ne peut se permettre d’agir sans craindre aucune répercussion : le passé suffit comme exemple concret.
La Wén se place comme l’écu protégeant les faibles. Toutefois, elle ne tombe pas dans de possible travers. Bienveillance et empathie sont les maîtres mots de sa philosophie.
Révolutionnaire
Analphabète, Yeosin se bat pour l’essor de la Ceinture Noire. Bien que condamnable, ce que disent les véhéments Tsukuri, au sujet de la plèbe, est vrai. Les indigents se confortent dans leur pauvreté et recherche la facilité plutôt que la difficulté. Il est plus simple de vendre la mort – ou son corps – plutôt que de chercher à s’élever de manière saine dans Asatsuyu.
Yeosin le sait et le comprend, elle-même fut Yakuza, il y a de ça quelques années maintenant. Si elle a reprit les armes, c’est pour mettre un coup de pied dans la fourmilière. L’asservissement du bas-peuple doit prendre fin. Plus de délits, de crime, de prostitution ou encore de trafic. L’usage de la force se doit d’être utilisée en dernier recours.
Pieuse
Un électrochoc. Voilà ce qu’elle ressenti lorsque la foi pénétra son cœur. Véritable prêtresse de la forêt blanche, elle y passe le plus clair de son temps. Yeosin se sent accabler d’une mission divine, une mission qui l’englobe et en même temps la dépasse. Connectée de manière spirituelle à la forêt blanche, elle a tissé un lien unique avec la nature – la flore uniquement. Il n’est pas rare qu’elle soit prise de vision lors de ses rêves.
Si la Wén est dévouée à sa patrie, elle l’est encore plus quand il s’agit de faire la dévote. Elle cherche à atteindre l’idéal, l’excellence : ce qui sera en mesure de lui ouvrir les portes du paradis.
Philosophie
思想 Shisou
思想 Shisou
Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?
Yeosin n’eut besoin de passer un quelconque recrutement. En tant que descendant de la famille ayant bâtit la monnaie du village, elle a toujours eu un pied dans les affaires marchandes de ses paternels. Fille unique, elle ne put recevoir en héritage la fortune de son géniteur, ni même son empire commercial.
En effet, ce furent son oncle ainsi que son cousin qui reprirent les rennes du clan Wén à la mort du patriarche.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
⬩ Tsukuri : Une niche. L’arrogance enrôle l’élite, toutefois tous ne sont pas ainsi, elle le sait et leur laisse le bénéfice du doute. Les sages et les philosophes doivent perdurer.
⬩ Kodama : Une communauté soudée de chercheurs et de pieux. De ce qu’en sait Yeosin, ils font tout leur possible pour accroître la science au sein du village.
⬩ Shinnin : Un peuple privé de sa destinée tant que celui-ci laissera les plaisirs pervers occupés une place trop importante dans les mœurs du quartier des épices comme de la ceinture noire.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Yeosin fut entourée par l’opulence durant toute sa vie. Mondanités et oisiveté furent ses principales occupations durant une partie importante de sa vie. Ce n’est qu’à la mort de son paternel que sa vie bascula du tout au tout. Une hiérarchie patriarcale comme celle de son clan ne pouvait laisser une femme à la tête de l’empire.
Toutes n’étaient pas des Asuza.
Désœuvrée, elle du trouver un moyen pour subvenir à ses besoins primaires et vitaux. Profiter du système, comme beaucoup, n’était pas dans ses choix. Ce fut en quelque sortes les facéties du destin qui l’a mené à devenir Yakuza – garde du corps pour être précis – pour une puissante famille marchande.
Après des années de loyaux services, elle prit sa retraite, non sans mal. Désormais, elle estime qu’il est temps de reprendre du travail. Non plus pour protéger les manipulateurs, mais plutôt pour les combattre. Le grand banditisme se sert toujours de la petite criminalité pour s’en mettre plein les poches.
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Un miracle. Un signe du destin.
S’étant rangée depuis deux années, elle comprit au travers de cette révélation qu’elle devait se remettre sur les rails. Elle ne pouvait assister sans agir. Elle avait toujours fait en sorte de masquer sa bestialité et son hardiesse au combat. Désormais, il n’y avait plus aucune raison de la cacher.
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?
L’argent n’a aucune saveur pour elle, aucune importance. Baigné dedans lui a permit de ne pas s’y attacher, contrairement à beaucoup de fils de. Les coups fourrés doivent être combattu, elle rejoint parfaitement Jin dans ses prises de positions. Tout ceci doit cesser.
Quant au peuple, il se doit d’être protégé, rassuré mais surtout d’être éduqué. L’instruire ne suffira pas, il faut faire en sorte d’aller plus loin. De lui montrer la voie et faire en sorte qu’il ne retombe plus dans les bassesses du passé.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Trouver la rédemption.
2. Bâtir une communauté soudée où le délit ne peut avoir sa place.
3. Récupérer son héritage.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Ses pupilles cristallines mirent l’horizon aqueux. Ici, brumes et cascadent naissent des reliefs escarpés. L’infranchissable se dresse devant elle, la chaîne montagneuse s’enfonce au delà de la voûte céleste. Les cumulonimbus se tassent dans le ciel se rengorgeant du courroux divin.
Le feu céleste brisent l’harmonie du lieu.
Une pluie torrentielle s’abat sur le plateau de la constellation. Stoïque, Yeosin ne se meut d’un iota. À califourchon, sur une branche, perforant la paroi rocheuse, elle attend avec une sacrale patience. Ses deux mains retiennent un long ustensile fait en bambou : une canne à pêche longue de plusieurs mètres.
En contre-bas, une dizaine de mètre en dessous de sa position, le flotteur stagne dans l’eau présumée sans vie.
Voilà des heures qu’elle maintient cette position.
La pêche n’est un hobby que d’une poignée d’élus.
Une ombre, minuscule se forme sous son appât. La respiration de la Wén ne se fait pas attendre. Sa respiration se coupe, ses muscles se crispent. Son spot lui appartient, elle sait déjà ce qui se déroulera d’ici une poignée de seconde. Une rixe d’une rare intensité, le Goliath aquatique face au David terrestre.
La nouvellement prêtresse de la nature préfère la compagnie de celle-ci plutôt que celle de l’homme...
L’ombre minuscule occupe désormais plusieurs mètres de rayon. Ce qui arrive est bien plus large, bien plus gros qu’une bâtisse.
Yeosin inspire puis expire. Son regard se fait plus sérieux, il dénote de son faciès d’ange.
Une gueule, aussi large que l’ombre, surgit dès lors de la solution aqueuse. Un poisson titanesque en ressort, le super-prédateur de cette zone. Ce n’est pas la première fois qu’elle le confronte – et probablement pas la dernière.
Mécaniquement, son corps se redresse. Le dos courbé, elle guette le saut de sa proie hors de son habitat naturel. Elle se sert de l’appuie de ses mains pour faire pencher son support sylvestre.
D’une grâce arrogante, son corps vrille déjà dans les airs. Tenant toujours en sa main le bambou, la sauvageonne se sert de cette rotation pour que le fil de pêche s’enroule autour de son némésis.
Faute de maîtrise, de force et d’outil adéquat, le fil se déchire sur l’armure de cartilage de la bête.
La panique n’habite pourtant pas son visage. Sereine, elle se laisse tomber en direction de l’ichtyen. Ses pupilles se referment. Une inspiration est suivie d’une expiration. Ses poumons sont vidés de l’oxygène qui les habitaient. Sa senestre se saisit, en pleine chute libre, du naginata dans son dos. Sa vrille ne s’arrêtera que quand elle aura pénétré la chair de son maître.
La lame mord la chair charnue... Du moins c’est ce qu’elle espérait. Au contact de cette armure naturelle, le bois se brise. Elle est à portée de crocs.
Dans un élan de survie, elle se saisit de la partie tranchante de son arme brisée. Yeosin n’aura pas le temps de faire un mouvement de plus que quatre puissantes canines mordirent, en profondeur, son corps. C’est ainsi qu’elle se retrouve à avoir son buste à l’intérieur du monstre. Si la pression de sa mâchoire persiste, elle sera scindée en deux.
Malgré la douleur lancinante qui habite son bassin et ses lombaires, elle doit réagir.
Dans un mouvement désuet, la lame perfore le palais de la bête. Elle ne s’arrête pas là, Yeosin sent la peau de son tronc commencer à se tendre, se déchirer. Recouvert par le cruor vicié, elle déloge avec hâte les deux canines contre son bas-ventre. Toutefois, les deux pieux fait d’émail auront raison de la chair de son dos.
Trop tard pour reculer, stationnant à l’endroit où les deux dents furent délogées, elle n’est plus à portée des excroissances supérieures de la mâchoire du prédateur.
De son plein grès, elle décide de cesser cet entraînement. L’adrénaline ne transmet pas encore la douleur à son cerveau. D’une puissante impulsion de ses membres inférieurs, elle quitte ce qui aurait pu être son tombeau tandis que là chasseur replonge dans les profondeurs de sa tanière.
Yeosin, quinze ans, chasse les poissons géants de la Constellation depuis la mort de son père.
Yeosin n’eut besoin de passer un quelconque recrutement. En tant que descendant de la famille ayant bâtit la monnaie du village, elle a toujours eu un pied dans les affaires marchandes de ses paternels. Fille unique, elle ne put recevoir en héritage la fortune de son géniteur, ni même son empire commercial.
En effet, ce furent son oncle ainsi que son cousin qui reprirent les rennes du clan Wén à la mort du patriarche.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
⬩ Tsukuri : Une niche. L’arrogance enrôle l’élite, toutefois tous ne sont pas ainsi, elle le sait et leur laisse le bénéfice du doute. Les sages et les philosophes doivent perdurer.
⬩ Kodama : Une communauté soudée de chercheurs et de pieux. De ce qu’en sait Yeosin, ils font tout leur possible pour accroître la science au sein du village.
⬩ Shinnin : Un peuple privé de sa destinée tant que celui-ci laissera les plaisirs pervers occupés une place trop importante dans les mœurs du quartier des épices comme de la ceinture noire.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Yeosin fut entourée par l’opulence durant toute sa vie. Mondanités et oisiveté furent ses principales occupations durant une partie importante de sa vie. Ce n’est qu’à la mort de son paternel que sa vie bascula du tout au tout. Une hiérarchie patriarcale comme celle de son clan ne pouvait laisser une femme à la tête de l’empire.
Toutes n’étaient pas des Asuza.
Désœuvrée, elle du trouver un moyen pour subvenir à ses besoins primaires et vitaux. Profiter du système, comme beaucoup, n’était pas dans ses choix. Ce fut en quelque sortes les facéties du destin qui l’a mené à devenir Yakuza – garde du corps pour être précis – pour une puissante famille marchande.
Après des années de loyaux services, elle prit sa retraite, non sans mal. Désormais, elle estime qu’il est temps de reprendre du travail. Non plus pour protéger les manipulateurs, mais plutôt pour les combattre. Le grand banditisme se sert toujours de la petite criminalité pour s’en mettre plein les poches.
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Un miracle. Un signe du destin.
S’étant rangée depuis deux années, elle comprit au travers de cette révélation qu’elle devait se remettre sur les rails. Elle ne pouvait assister sans agir. Elle avait toujours fait en sorte de masquer sa bestialité et son hardiesse au combat. Désormais, il n’y avait plus aucune raison de la cacher.
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?
L’argent n’a aucune saveur pour elle, aucune importance. Baigné dedans lui a permit de ne pas s’y attacher, contrairement à beaucoup de fils de. Les coups fourrés doivent être combattu, elle rejoint parfaitement Jin dans ses prises de positions. Tout ceci doit cesser.
Quant au peuple, il se doit d’être protégé, rassuré mais surtout d’être éduqué. L’instruire ne suffira pas, il faut faire en sorte d’aller plus loin. De lui montrer la voie et faire en sorte qu’il ne retombe plus dans les bassesses du passé.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Trouver la rédemption.
2. Bâtir une communauté soudée où le délit ne peut avoir sa place.
3. Récupérer son héritage.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Ses pupilles cristallines mirent l’horizon aqueux. Ici, brumes et cascadent naissent des reliefs escarpés. L’infranchissable se dresse devant elle, la chaîne montagneuse s’enfonce au delà de la voûte céleste. Les cumulonimbus se tassent dans le ciel se rengorgeant du courroux divin.
Le feu céleste brisent l’harmonie du lieu.
Une pluie torrentielle s’abat sur le plateau de la constellation. Stoïque, Yeosin ne se meut d’un iota. À califourchon, sur une branche, perforant la paroi rocheuse, elle attend avec une sacrale patience. Ses deux mains retiennent un long ustensile fait en bambou : une canne à pêche longue de plusieurs mètres.
En contre-bas, une dizaine de mètre en dessous de sa position, le flotteur stagne dans l’eau présumée sans vie.
Voilà des heures qu’elle maintient cette position.
La pêche n’est un hobby que d’une poignée d’élus.
Une ombre, minuscule se forme sous son appât. La respiration de la Wén ne se fait pas attendre. Sa respiration se coupe, ses muscles se crispent. Son spot lui appartient, elle sait déjà ce qui se déroulera d’ici une poignée de seconde. Une rixe d’une rare intensité, le Goliath aquatique face au David terrestre.
La nouvellement prêtresse de la nature préfère la compagnie de celle-ci plutôt que celle de l’homme...
L’ombre minuscule occupe désormais plusieurs mètres de rayon. Ce qui arrive est bien plus large, bien plus gros qu’une bâtisse.
Yeosin inspire puis expire. Son regard se fait plus sérieux, il dénote de son faciès d’ange.
Une gueule, aussi large que l’ombre, surgit dès lors de la solution aqueuse. Un poisson titanesque en ressort, le super-prédateur de cette zone. Ce n’est pas la première fois qu’elle le confronte – et probablement pas la dernière.
Mécaniquement, son corps se redresse. Le dos courbé, elle guette le saut de sa proie hors de son habitat naturel. Elle se sert de l’appuie de ses mains pour faire pencher son support sylvestre.
D’une grâce arrogante, son corps vrille déjà dans les airs. Tenant toujours en sa main le bambou, la sauvageonne se sert de cette rotation pour que le fil de pêche s’enroule autour de son némésis.
Faute de maîtrise, de force et d’outil adéquat, le fil se déchire sur l’armure de cartilage de la bête.
La panique n’habite pourtant pas son visage. Sereine, elle se laisse tomber en direction de l’ichtyen. Ses pupilles se referment. Une inspiration est suivie d’une expiration. Ses poumons sont vidés de l’oxygène qui les habitaient. Sa senestre se saisit, en pleine chute libre, du naginata dans son dos. Sa vrille ne s’arrêtera que quand elle aura pénétré la chair de son maître.
La lame mord la chair charnue... Du moins c’est ce qu’elle espérait. Au contact de cette armure naturelle, le bois se brise. Elle est à portée de crocs.
Dans un élan de survie, elle se saisit de la partie tranchante de son arme brisée. Yeosin n’aura pas le temps de faire un mouvement de plus que quatre puissantes canines mordirent, en profondeur, son corps. C’est ainsi qu’elle se retrouve à avoir son buste à l’intérieur du monstre. Si la pression de sa mâchoire persiste, elle sera scindée en deux.
Malgré la douleur lancinante qui habite son bassin et ses lombaires, elle doit réagir.
Dans un mouvement désuet, la lame perfore le palais de la bête. Elle ne s’arrête pas là, Yeosin sent la peau de son tronc commencer à se tendre, se déchirer. Recouvert par le cruor vicié, elle déloge avec hâte les deux canines contre son bas-ventre. Toutefois, les deux pieux fait d’émail auront raison de la chair de son dos.
Trop tard pour reculer, stationnant à l’endroit où les deux dents furent délogées, elle n’est plus à portée des excroissances supérieures de la mâchoire du prédateur.
De son plein grès, elle décide de cesser cet entraînement. L’adrénaline ne transmet pas encore la douleur à son cerveau. D’une puissante impulsion de ses membres inférieurs, elle quitte ce qui aurait pu être son tombeau tandis que là chasseur replonge dans les profondeurs de sa tanière.
Yeosin, quinze ans, chasse les poissons géants de la Constellation depuis la mort de son père.
Alter ego
分身 Bunshin
分身 Bunshin
Origine de votre avatar ? OC – Guweiz.
Comment avez-vous connu le forum ? Sadaharu.
Quel est le nom de votre parrain ? N/A.
Est-ce un changement de personnage ? Non.
Est-ce un deuxième ou triple compte ? Yuugen.
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Oui.
Est-ce votre premier forum RPG ? Non.
Autre chose à ajouter ? Shinnin-Vie.
Comment avez-vous connu le forum ? Sadaharu.
Quel est le nom de votre parrain ? N/A.
Est-ce un changement de personnage ? Non.
Est-ce un deuxième ou triple compte ? Yuugen.
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Oui.
Est-ce votre premier forum RPG ? Non.
Autre chose à ajouter ? Shinnin-Vie.
