Identité
素性 Sujou
素性 Sujou
Nom : Kaïto ; un nom qu'elle tait, elle se fait appeler simplement par son prénom Prénom : Mao 真央 ; 真 qui signifie "réel, authentique" + 央 qui signifie "centre" Genre : Féminin Année de naissance : -21 ; 23 ans Signe particulier : Une tenue vestimentaire très élaborée basée sur de magnifiques étoffes de soie ; elle porte également un jingasa (sorte de chapeau traditionnel des samuraï) pour se protéger de la pluie et du soleil, son teint et ses cheveux méritant une attention particulière ; elle a encore des cicatrices après le passage de la foudre sur son bras droit (Figure de Lichtenberg) Pouvoir : Raiton |
Personnalité
人格 Jinkaku
人格 Jinkaku
⋮ Excessive
Mao, même si tu avais le monde à tes pieds, il faudrait que les morts s’agenouillent. Tu es insatiable, éternelle assoiffée de tout ce qui est et qui ne t’appartient pas encore, ou jamais assez. Ton existence repose sur ce désir vorace de posséder, d’obséder, de dominer. Tu es loin d’être idiote, tu sais que ton indomptable avidité te tueras ; mais c’est une passionnante malédiction que de vivre aussi intensément. Sans aucune limite, tu profites de tout ce qu’on peut t’offrir et de tout ce que tu peux voler. Tu es une joueuse, et tu joues chaque instant de ta vie : une carte, ton souffle, une pièce, ton corps, un pari, ton destin. Tu détestes perdre, évidemment, mais tu trouves toujours le moyen d’obtenir ta revanche, délicatement violente.
⋮ Manipulatrice
Ta passion du jeu se décline sous toutes ses formes. Si tu aimes l’odeur de l’argent et la douceur des étoffes précieuses, tu prends un plaisir particulier à jouer avec les gens. Pour chacun d’eux, les règles sont différentes, les risques plus ou moins grands. Tu les fascines et les effraies, mais même s’ils sentent l’orage, ils attendent la foudre. Tu es une princesse, tu mérites une Cour. Toi, tu aimes les résistants, mais tu trouves l’utilité de tous, mêmes des plus faibles. Tu es parfois capricieuse, une énigme, même pour ceux qui veulent sincèrement t’aimer ; tu es cette fleur dangereuse, venimeuse : finalement si fragile.
⋮ Sophistiquée
Tu es née belle, tu es devenue sublime. Tu as une force au delà du beau qui inspires le respect plus que la crainte ; tu es de ces objets si précieux qu’on veut seulement les admirer, les protéger. Tu es à la fois l’épreuve et le trophée, c’est toi qui l’a voulu ainsi. Tu ne te pares que des plus belles étoffes, te rêvant impératrice, tu te maquilles avec minutie, faisant jalouser les geïsha qui accompagnent tes camarades de jeu. Tu fais attention à ta peau, à tes cheveux. Tu es toujours très précises surtout lorsque tu combats car tu ne veux pas de cicatrices, même si tu reconnais qu’il est très beau de voir couler son propre sang. Tu es élégante, même quand tu as trop bu, même quand tu t’énerves, même quand personne ne te regardes.
⋮ Ambitieuse
Si tu es l’héritière d’une dynastie déchue, d’un souvenir infâme, d’un nom que l’on prononce avec dégout, tu n’en as pas honte, non, tu en es discrètement fière. Tu sais que tes ancêtres ont commis des erreurs, mais c’est ce nom qui t’as appelé quand tu n’étais rien, quand tu ne pensais rien être. Au pied de la pyramide, tu as levé tes yeux d’enfants vers le sommet, et tu as compris qu’il allait falloir gravir chacune de ces marches. Il est injuste que tu aies à porter seule ce nom à la fois si fort, fort du pouvoir qu’il a cristallisé pendant si longtemps, et si faible, subissant la trahison, la déchéance puis l’oublie. Mao Kaïto, pour t’arrêter, il faudra te tuer.
Mao, même si tu avais le monde à tes pieds, il faudrait que les morts s’agenouillent. Tu es insatiable, éternelle assoiffée de tout ce qui est et qui ne t’appartient pas encore, ou jamais assez. Ton existence repose sur ce désir vorace de posséder, d’obséder, de dominer. Tu es loin d’être idiote, tu sais que ton indomptable avidité te tueras ; mais c’est une passionnante malédiction que de vivre aussi intensément. Sans aucune limite, tu profites de tout ce qu’on peut t’offrir et de tout ce que tu peux voler. Tu es une joueuse, et tu joues chaque instant de ta vie : une carte, ton souffle, une pièce, ton corps, un pari, ton destin. Tu détestes perdre, évidemment, mais tu trouves toujours le moyen d’obtenir ta revanche, délicatement violente.
⋮ Manipulatrice
Ta passion du jeu se décline sous toutes ses formes. Si tu aimes l’odeur de l’argent et la douceur des étoffes précieuses, tu prends un plaisir particulier à jouer avec les gens. Pour chacun d’eux, les règles sont différentes, les risques plus ou moins grands. Tu les fascines et les effraies, mais même s’ils sentent l’orage, ils attendent la foudre. Tu es une princesse, tu mérites une Cour. Toi, tu aimes les résistants, mais tu trouves l’utilité de tous, mêmes des plus faibles. Tu es parfois capricieuse, une énigme, même pour ceux qui veulent sincèrement t’aimer ; tu es cette fleur dangereuse, venimeuse : finalement si fragile.
⋮ Sophistiquée
Tu es née belle, tu es devenue sublime. Tu as une force au delà du beau qui inspires le respect plus que la crainte ; tu es de ces objets si précieux qu’on veut seulement les admirer, les protéger. Tu es à la fois l’épreuve et le trophée, c’est toi qui l’a voulu ainsi. Tu ne te pares que des plus belles étoffes, te rêvant impératrice, tu te maquilles avec minutie, faisant jalouser les geïsha qui accompagnent tes camarades de jeu. Tu fais attention à ta peau, à tes cheveux. Tu es toujours très précises surtout lorsque tu combats car tu ne veux pas de cicatrices, même si tu reconnais qu’il est très beau de voir couler son propre sang. Tu es élégante, même quand tu as trop bu, même quand tu t’énerves, même quand personne ne te regardes.
⋮ Ambitieuse
Si tu es l’héritière d’une dynastie déchue, d’un souvenir infâme, d’un nom que l’on prononce avec dégout, tu n’en as pas honte, non, tu en es discrètement fière. Tu sais que tes ancêtres ont commis des erreurs, mais c’est ce nom qui t’as appelé quand tu n’étais rien, quand tu ne pensais rien être. Au pied de la pyramide, tu as levé tes yeux d’enfants vers le sommet, et tu as compris qu’il allait falloir gravir chacune de ces marches. Il est injuste que tu aies à porter seule ce nom à la fois si fort, fort du pouvoir qu’il a cristallisé pendant si longtemps, et si faible, subissant la trahison, la déchéance puis l’oublie. Mao Kaïto, pour t’arrêter, il faudra te tuer.
Philosophie
思想 Shisou
思想 Shisou
Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?
Depuis que tu sais qui tu es, qui tu es vraiment, tu n’as eu que pour seul objectif d’intégrer le clan Shinnin.
Tu étais jeune quand tu as voulu apprendre à manier le sabre, tu voulais pouvoir te défendre et surtout, te faire remarquer. Mais personne ne remarque une roturière aux cheveux noires, une gamine qui laisse derrière elle l’odeur du compost qu’elle laboure dans les champs. Alors tu as décidé de voler : tu volais des étoffes brillantes, ornées de fleurs et de grues, tu volais tout ce qui pouvait être beau à tes yeux ; pas seulement des vêtements, mais aussi des piques à cheveux, des fruits dont tu aimais le parfum, autant de larcins que de caprices.
Tu étais rapide, très douée pour tromper l’attention de la ta victime, jusqu’au jour où tu te fis attraper. Jin, le gardien, n’aimait pas beaucoup les petits sacripants dans ton genre, mais il avait pour réputation d’être un homme juste. Il remarqua que tu avais une autre prédisposition, bien plus intéressante que tes filouteries : ta capacité à savoir manier les chiffres. Comme une sorte de tradition à l’ancienne famille royale et malgré l’activité agricole de ses héritiers, tu as pu bénéficier d’une éducation complète, apprenant à lire, écrire et compter. C’est ainsi que le clan Shinnin te chargea d’aider à la prise des paris qu’il organisait dans la ville.
En échange d’un petit salaire, tu pouvais tenir à jour les paris ; au début tu n’avais même pas le droit de toucher l’argent ; au fil des années, tes responsabilités augmentèrent et tu es finalement devenue bookmakeur et comptable pour le clan.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Tu considères ces clans comme un reliquat du passé, s’ils tiennent encore debout, c’est simplement pour mieux les faire tomber. Et tu feras partis des responsables de leur chute ; tu as ce rôle, tu le crois, d’héritière destructrice, qui fera table rase du passé pour instaurer une société sans domination et sans exploitation, animée par une dynamique juste et solidaire.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Tu as grandi aux abords d’Asatsuyu no Sato, tes parents s’occupant d’une petite exploitation agricole, tu allais régulièrement au marché dans le quartier des épices pour les aider à vendre leur récolte. Ta mère a mis du temps à t’avouer le passé de sa lignée, ta lignée. Tu as eu la chance de bénéficier d’une éducation, ce qui n’était pas donné à tout les enfants de paysans, bien au contraire. Ta mère était presque érudite pourtant elle avait les mains abîmés par le travail de la terre. Ton père s’opposait fermement à ce que tu sois au courant de ce qu’il appelait des palabres, des vieux fantasmes que l’on pensait vrai à force de les répéter.
Quand tu fus un peu plus âgée, ta mère t’expliqua les rudiments de la pensée politique, le fonctionnement de l’économie et tu finis par lui demander comment elle avait bien pu savoir tout cela. Ignorant les interdits de ton père, elle te raconta le règne du Monarque-Élu (ton arrière-arrière-grand-père), l’exil qui suivit la chute de la dynastie Kaïto (ton véritable nom de famille, même si tes parents utilisent le nom de Kaïko, ironiquement, cela veut dire souvenir) et comment l’héritage de famille royale sombra dans l’oublie le plus total. Il ne lui restait plus qu’une seule chose pour permettre de prouver votre réelle appartenance à la dynastie Kaïto : une chevalière en or frappée de vos armoiries 海斗.
S’en est suivit ton recrutement par le clan Shinnin et ta progression en son sein. Abandonnant le travail à la ferme et ne revoyant que rarement tes parents, tu t’es entièrement dévouée à ton rôle de bookmakeur et de comptable pour le clan. Tu penses qu’ils ne sont pas au courant de ta véritable identité mais restes sur tes gardes ; tu profites de ta tendance pour le jeu et l’alcool pour dissiper tout soupçons concernant tes motivations ; et puis tu déteste dormir seule.
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Tu as compris que tu n’étais pas seulement l’instrument de ta propre ambition, mais bien celle d’une puissance supérieure. Tu n’avais jamais vraiment cru aux légendes concernant ton ancêtre, avant que ton pouvoir ne se manifeste, tu étais même extrêmement terre à terre. Et le ciel s’en est mêlé. (développement dans l'évènement marquant)
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?
Tu penses que le mal est nécessaire pour obtenir le bien. Dans ce monde, il n’y a de justice que pour ceux qui iront la chercher eux-même, il n’y a de place que pour ceux qui auront suffisamment de détermination pour accomplir leur destin. Tu es une de ces personnes, alors tu ne portes pas grand interêt au petit peuple qui souffre, à tout le mal que les êtres humains sont capables de se faire pour un sous, une bouchée de pain, un mot de travers. Tu es convaincue que tes actions pourront sauver le peuple, du moins, leur offrir une nouvelle chance. Tu aimes évidemment l’argent car il te permets d’actionner tes combines, mais ce n’est qu’un tremplin vers ton objectif. Tu n’envisages pas vraiment l’après, tu t’imagines plutôt être emportée par les gravas, mourant avec panache.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Provoquer la chute des clans fondateurs (#anarchiste) en prenant le contrôle de Shinnin.
2. Regrouper autour d’elle des héros qui ont la même ambition afin qu’ils deviennent de véritables légendes.
3. Collectionner les objets (et les êtres) de son désir.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Une nuit d’orage dans la ville, tu es déjà bien alcoolisée, tu rentres chez toi - une chambre au dessus d’une opiomerie appartenant à la Doctoresse. Tu aimes cette ambiance, entre la décadence et l’harmonie, la tranquille exultation des hommes et des femmes qui voyagent sans bouger. Tu serais bien rester parier, tu étais plutôt en veine, même si ce n’est pas uniquement de la chance, tu comptes les cartes ; mais le grondement lointain du ciel en colère t’as forcé à détaler.
Tu as toujours en plein milieu du visage cet air résolu et sensuel, mais s’il y a bien une chose qui peut te faire fuir : c’est bien l’orage. Tu as peur de l’orage. Depuis que tu es bébé, avant même que tu t’en souviennes, tu as une peur irrationnelle et incontrôlable de ce caprice atmosphérique.
Tu claques la porte derrière toi, les badauds n’ont vu qu’une ombre affolée se faufiler en haut des escaliers. Ceux qui sont habitués à te fréquenter connaissent ta phobie et évitent d’en rire devant toi. Il y a une vraie détresse qui traverse ton regard et tu sais que ce désespoir absurde ne te vas pas très bien au teint.
Un coup de tonnerre, tu pousses un cri, honteux, tombant à genoux sur les tapis qui ornent le sol. Ta respiration s’emballe et ton coeur aussi, tu appréhendes d’entendre le ciel se déchirer, de le voir se zébrer de colère. Tu serres nerveusement ton kimono écarlate dont les chrysanthèmes brillent à la lueur des quelques bougies qui éclairent la pièce - sommaire dans son ameublement mais très décorée. Tu ne sais pas si tu veux être seule ou te blottir dans les bras de quelqu’un, comme quand tu étais enfant, et que tu t’endormais d’épuisement dans le lit de tes parents.
Encore une fois, le tonnerre gronde, cette fois beaucoup plus fort, signalement que la foudre tombe non loin d’ici. La pluie martèle ta fenêtre mal fermée et une bourrasque de vent libère le loquet ; les bougies s’éteignent en une fraction de seconde et le vent remue les livres de comptes que tu as laissé ouvert, emporte les feuilles volantes à travers la chambre.
Mao, tu dois te lever et fermer cette fenêtre. Tu ne peux pas rester là, transit par cette peur idiote. Tu te relèves doucement, tes muscles crispées, tes cheveux détachées, emmêlés, se collent à la commissure de tes lèvres, la pluie horizontale trempes tes vêtements et ta peau. Tu tends tes doigts fins vers la fenêtre à l’encadrement de métal, tu ne vois pas ta main car tu es dans l’obscurité. Tu y es presque. Ton doigt l’effleure, l’éclair fend le ciel si brillant que tu dois fermer les yeux, et l’instant d’après, tu ne sens plus rien, plus tes doigts, plus tes jambes, plus rien.
Tu ne peux pas expliquer ce qu’il vient de se passer. Ce n’est que plusieurs jours suivants cette nuit que tu oses penser que cette légende est vraie. Cette vieille histoire que ta mère t’as raconté, celle du Monarque-Élu capable de plier les éléments sous sa volonté. Toi tu n’as pas plié, tu as été traversé par une force, tu as été sollicité par ton pire cauchemar, par la foudre qui accompagne l’orage. Le lendemain tu es allée vérifié où la foudre était tombée : bien plus loin que l’opiomerie. Pourtant, ton tapis est brûlé, pourtant, sur ton bras se dessine le stigmate de l’électricité qui a parcouru ton corps. Mao, tu dois confronter tes démons.
Depuis que tu sais qui tu es, qui tu es vraiment, tu n’as eu que pour seul objectif d’intégrer le clan Shinnin.
Tu étais jeune quand tu as voulu apprendre à manier le sabre, tu voulais pouvoir te défendre et surtout, te faire remarquer. Mais personne ne remarque une roturière aux cheveux noires, une gamine qui laisse derrière elle l’odeur du compost qu’elle laboure dans les champs. Alors tu as décidé de voler : tu volais des étoffes brillantes, ornées de fleurs et de grues, tu volais tout ce qui pouvait être beau à tes yeux ; pas seulement des vêtements, mais aussi des piques à cheveux, des fruits dont tu aimais le parfum, autant de larcins que de caprices.
Tu étais rapide, très douée pour tromper l’attention de la ta victime, jusqu’au jour où tu te fis attraper. Jin, le gardien, n’aimait pas beaucoup les petits sacripants dans ton genre, mais il avait pour réputation d’être un homme juste. Il remarqua que tu avais une autre prédisposition, bien plus intéressante que tes filouteries : ta capacité à savoir manier les chiffres. Comme une sorte de tradition à l’ancienne famille royale et malgré l’activité agricole de ses héritiers, tu as pu bénéficier d’une éducation complète, apprenant à lire, écrire et compter. C’est ainsi que le clan Shinnin te chargea d’aider à la prise des paris qu’il organisait dans la ville.
En échange d’un petit salaire, tu pouvais tenir à jour les paris ; au début tu n’avais même pas le droit de toucher l’argent ; au fil des années, tes responsabilités augmentèrent et tu es finalement devenue bookmakeur et comptable pour le clan.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Tu considères ces clans comme un reliquat du passé, s’ils tiennent encore debout, c’est simplement pour mieux les faire tomber. Et tu feras partis des responsables de leur chute ; tu as ce rôle, tu le crois, d’héritière destructrice, qui fera table rase du passé pour instaurer une société sans domination et sans exploitation, animée par une dynamique juste et solidaire.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Tu as grandi aux abords d’Asatsuyu no Sato, tes parents s’occupant d’une petite exploitation agricole, tu allais régulièrement au marché dans le quartier des épices pour les aider à vendre leur récolte. Ta mère a mis du temps à t’avouer le passé de sa lignée, ta lignée. Tu as eu la chance de bénéficier d’une éducation, ce qui n’était pas donné à tout les enfants de paysans, bien au contraire. Ta mère était presque érudite pourtant elle avait les mains abîmés par le travail de la terre. Ton père s’opposait fermement à ce que tu sois au courant de ce qu’il appelait des palabres, des vieux fantasmes que l’on pensait vrai à force de les répéter.
Quand tu fus un peu plus âgée, ta mère t’expliqua les rudiments de la pensée politique, le fonctionnement de l’économie et tu finis par lui demander comment elle avait bien pu savoir tout cela. Ignorant les interdits de ton père, elle te raconta le règne du Monarque-Élu (ton arrière-arrière-grand-père), l’exil qui suivit la chute de la dynastie Kaïto (ton véritable nom de famille, même si tes parents utilisent le nom de Kaïko, ironiquement, cela veut dire souvenir) et comment l’héritage de famille royale sombra dans l’oublie le plus total. Il ne lui restait plus qu’une seule chose pour permettre de prouver votre réelle appartenance à la dynastie Kaïto : une chevalière en or frappée de vos armoiries 海斗.
S’en est suivit ton recrutement par le clan Shinnin et ta progression en son sein. Abandonnant le travail à la ferme et ne revoyant que rarement tes parents, tu t’es entièrement dévouée à ton rôle de bookmakeur et de comptable pour le clan. Tu penses qu’ils ne sont pas au courant de ta véritable identité mais restes sur tes gardes ; tu profites de ta tendance pour le jeu et l’alcool pour dissiper tout soupçons concernant tes motivations ; et puis tu déteste dormir seule.
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
Tu as compris que tu n’étais pas seulement l’instrument de ta propre ambition, mais bien celle d’une puissance supérieure. Tu n’avais jamais vraiment cru aux légendes concernant ton ancêtre, avant que ton pouvoir ne se manifeste, tu étais même extrêmement terre à terre. Et le ciel s’en est mêlé. (développement dans l'évènement marquant)
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?
Tu penses que le mal est nécessaire pour obtenir le bien. Dans ce monde, il n’y a de justice que pour ceux qui iront la chercher eux-même, il n’y a de place que pour ceux qui auront suffisamment de détermination pour accomplir leur destin. Tu es une de ces personnes, alors tu ne portes pas grand interêt au petit peuple qui souffre, à tout le mal que les êtres humains sont capables de se faire pour un sous, une bouchée de pain, un mot de travers. Tu es convaincue que tes actions pourront sauver le peuple, du moins, leur offrir une nouvelle chance. Tu aimes évidemment l’argent car il te permets d’actionner tes combines, mais ce n’est qu’un tremplin vers ton objectif. Tu n’envisages pas vraiment l’après, tu t’imagines plutôt être emportée par les gravas, mourant avec panache.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Provoquer la chute des clans fondateurs (#anarchiste) en prenant le contrôle de Shinnin.
2. Regrouper autour d’elle des héros qui ont la même ambition afin qu’ils deviennent de véritables légendes.
3. Collectionner les objets (et les êtres) de son désir.
Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage.
Une nuit d’orage dans la ville, tu es déjà bien alcoolisée, tu rentres chez toi - une chambre au dessus d’une opiomerie appartenant à la Doctoresse. Tu aimes cette ambiance, entre la décadence et l’harmonie, la tranquille exultation des hommes et des femmes qui voyagent sans bouger. Tu serais bien rester parier, tu étais plutôt en veine, même si ce n’est pas uniquement de la chance, tu comptes les cartes ; mais le grondement lointain du ciel en colère t’as forcé à détaler.
Tu as toujours en plein milieu du visage cet air résolu et sensuel, mais s’il y a bien une chose qui peut te faire fuir : c’est bien l’orage. Tu as peur de l’orage. Depuis que tu es bébé, avant même que tu t’en souviennes, tu as une peur irrationnelle et incontrôlable de ce caprice atmosphérique.
Tu claques la porte derrière toi, les badauds n’ont vu qu’une ombre affolée se faufiler en haut des escaliers. Ceux qui sont habitués à te fréquenter connaissent ta phobie et évitent d’en rire devant toi. Il y a une vraie détresse qui traverse ton regard et tu sais que ce désespoir absurde ne te vas pas très bien au teint.
Un coup de tonnerre, tu pousses un cri, honteux, tombant à genoux sur les tapis qui ornent le sol. Ta respiration s’emballe et ton coeur aussi, tu appréhendes d’entendre le ciel se déchirer, de le voir se zébrer de colère. Tu serres nerveusement ton kimono écarlate dont les chrysanthèmes brillent à la lueur des quelques bougies qui éclairent la pièce - sommaire dans son ameublement mais très décorée. Tu ne sais pas si tu veux être seule ou te blottir dans les bras de quelqu’un, comme quand tu étais enfant, et que tu t’endormais d’épuisement dans le lit de tes parents.
Encore une fois, le tonnerre gronde, cette fois beaucoup plus fort, signalement que la foudre tombe non loin d’ici. La pluie martèle ta fenêtre mal fermée et une bourrasque de vent libère le loquet ; les bougies s’éteignent en une fraction de seconde et le vent remue les livres de comptes que tu as laissé ouvert, emporte les feuilles volantes à travers la chambre.
Mao, tu dois te lever et fermer cette fenêtre. Tu ne peux pas rester là, transit par cette peur idiote. Tu te relèves doucement, tes muscles crispées, tes cheveux détachées, emmêlés, se collent à la commissure de tes lèvres, la pluie horizontale trempes tes vêtements et ta peau. Tu tends tes doigts fins vers la fenêtre à l’encadrement de métal, tu ne vois pas ta main car tu es dans l’obscurité. Tu y es presque. Ton doigt l’effleure, l’éclair fend le ciel si brillant que tu dois fermer les yeux, et l’instant d’après, tu ne sens plus rien, plus tes doigts, plus tes jambes, plus rien.
Tu ne peux pas expliquer ce qu’il vient de se passer. Ce n’est que plusieurs jours suivants cette nuit que tu oses penser que cette légende est vraie. Cette vieille histoire que ta mère t’as raconté, celle du Monarque-Élu capable de plier les éléments sous sa volonté. Toi tu n’as pas plié, tu as été traversé par une force, tu as été sollicité par ton pire cauchemar, par la foudre qui accompagne l’orage. Le lendemain tu es allée vérifié où la foudre était tombée : bien plus loin que l’opiomerie. Pourtant, ton tapis est brûlé, pourtant, sur ton bras se dessine le stigmate de l’électricité qui a parcouru ton corps. Mao, tu dois confronter tes démons.
Alter ego
分身 Bunshin
分身 Bunshin
Origine de votre avatar ? O.C par Ibuki Satsuki
Comment avez-vous connu le forum ? Topsite
Quel est le nom de votre parrain ? janaipa
Est-ce un changement de personnage ? non
Est-ce un deuxième ou triple compte ? non plus
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? oui mais j'ai lâché à la fin, j'ai trouvé que c'était un peu nul
Est-ce votre premier forum RPG ? alors ça non
Autre chose à ajouter ? j'aime l'esprit du forum et je vous encourage à continuer votre travail !! J'espère que mon personnage anarchiste - joueur compulsif - fashionista vous plaira
Comment avez-vous connu le forum ? Topsite
Quel est le nom de votre parrain ? janaipa
Est-ce un changement de personnage ? non
Est-ce un deuxième ou triple compte ? non plus
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? oui mais j'ai lâché à la fin, j'ai trouvé que c'était un peu nul
Est-ce votre premier forum RPG ? alors ça non
Autre chose à ajouter ? j'aime l'esprit du forum et je vous encourage à continuer votre travail !! J'espère que mon personnage anarchiste - joueur compulsif - fashionista vous plaira