La foule hurlait sa joie. Les paris ne cessaient de flamber. Dans ce vacarme tonitruant s’épanouissait le fauve. Véritable fléau de l’arène, il fonçait contre toute créature, qu’elle soit humaine comme animale.
Ses métacarpes ensanglantées laissaient deviner le nombre de victime qu’il avait fauché en ce jour. Certaines canines restaient enfoncer dans ses mains.
Une pile d’hommes comateux prenait place en plein stade. Aux portes de la mort, ceux-ci étaient les victimes du courroux de l’Ouest. Celui de l’Esprit-Libre.
Perché sur son trône – aka la pile – le singe savourait sans vergogne une senestre. Celle-ci fut arrachée voir découpée en plein combat.
Dans le stade, c’était manger ou être mangé. Le Shahid l’avait bien compris.
Son rire de macaque emplit rapidement la zone de combat. Il était le dernier homme debout. L’hémoglobine perlait de ses joues. Son regard se plongea en direction du Maître des Jeux, de son maître. Kurogane devait faire plus encore pour être en mesure d’abattre le métèque.
Se plaçant sur ses membres inférieurs, il se releva de tout son long. Ses muscles, puissants, ne montraient aucun signe de faiblesse. « Men qon va raqobatchilarni xohlayman » Hurla l’Enragé. Ses poings percutaient sa cage thoracique à l’image d’un dos argenté.
Il marquait son territoire.
Répondant à ce cri du cœur, les quatre herses s’ouvrirent. De nombreux gladiateurs – et probablement élus – se déversèrent dans le terrain sablonneux du quartier des Arts. Une nouvelle fournée d’adversaires. Un deuxième round. Les festivités reprenaient de plus belle. Parfait.
Ses métacarpes ensanglantées laissaient deviner le nombre de victime qu’il avait fauché en ce jour. Certaines canines restaient enfoncer dans ses mains.
Une pile d’hommes comateux prenait place en plein stade. Aux portes de la mort, ceux-ci étaient les victimes du courroux de l’Ouest. Celui de l’Esprit-Libre.
Perché sur son trône – aka la pile – le singe savourait sans vergogne une senestre. Celle-ci fut arrachée voir découpée en plein combat.
Dans le stade, c’était manger ou être mangé. Le Shahid l’avait bien compris.
Son rire de macaque emplit rapidement la zone de combat. Il était le dernier homme debout. L’hémoglobine perlait de ses joues. Son regard se plongea en direction du Maître des Jeux, de son maître. Kurogane devait faire plus encore pour être en mesure d’abattre le métèque.
Se plaçant sur ses membres inférieurs, il se releva de tout son long. Ses muscles, puissants, ne montraient aucun signe de faiblesse. « Men qon va raqobatchilarni xohlayman » Hurla l’Enragé. Ses poings percutaient sa cage thoracique à l’image d’un dos argenté.
Il marquait son territoire.
Répondant à ce cri du cœur, les quatre herses s’ouvrirent. De nombreux gladiateurs – et probablement élus – se déversèrent dans le terrain sablonneux du quartier des Arts. Une nouvelle fournée d’adversaires. Un deuxième round. Les festivités reprenaient de plus belle. Parfait.