Nom : Kuroda (黒田)
Prénom : Isamu (勇)
Surnom : Masui (増井)
Genre : ♂
Année de naissance : -13 (16 ans, été)
Signe particulier : Deux cicatrices linéaires dans ses paumes. D'autres plus petites et effacées qui tigrent son dos.
Pouvoir : Kugutsu (傀儡)

Resourceful
« Streets taught me ropes only years could have. »

Il lui a fallu manger, alors il a volé. C’est aussi simple que ça. Isamu n’a pas son pareil pour défier l’autorité. Ce n’est pas tant une volonté d’être un délinquant qu’une nécessité. Dans la rue il répond au nom de Masui, un acronyme de son propre prénom qu’il écrit de deux kanji. Sa réputation le précède parfois en particulier aux oreilles des marchands qui tiennent les étales sur lesquelles il aime à se servir le plus souvent.
Il se débrouille, comme il peut, jusqu’à en prendre plaisir. L’important c’est de ne pas se faire prendre. Avec son gabarit, il n’a aucune peine à parcourir la foule après un de ses petits larcins, et est tout aussi prêt à s’en débarrasser juste avant de se faire attraper. Isamu a différents masques qu’il revêt dépendant des situations… De bonnes grosses larmes de crocodiles le sortent des griffes des mères de famille qui le pardonnent, une attitude désinvolte et agressive le protège des autres enfants et sans-abri qui pensent pouvoir l’impressionner, parfois garder le silence peut aussi le mener aussi loin que le mieux écrit des discours, c’est une image car Isamu a pour ainsi dire une graphie plus qu’approximative.

Deeply Scarred
« Who can I trust? Killers are kind, smugglers are rough. »

Son attitude cache des blessures bien plus profondes, un enfant à la rue s’il est protégé par certains est abusés par d’autres. Sa confiance fut trahie à maintes reprises : l’odeur de l’argent est toujours plus forte que celle du sang. Bagarres, abus, drogues, autant de choses qu’il a su endurer jusqu’à parfois en faire sa force au point de les monnayer. A 7 ans il était déjà accroc aux opioïdes à cause de la fumée qui stagnait dans la maison familiale. Son père, blessé au travail, avait trouvé dans l’opium un moyen pour contrôler ses douleurs, et il avait ramené son addiction dans son foyer sans le savoir.
Aujourd’hui, Isamu fume activement. C’est la seule chose pour tout oublier, en rire, couper la faim, car c’est ce que tous les gamins comme lui cherchent : s’anesthésier, survivre. En bande d’enfants à déambuler dans les rues. Parfois l’un disparaît et il est aussitôt remplacé. Une famille disparate mais qui s’entraide, selon lui bien mieux que celle qui l’attend à la maison. Ils partagent tout ce qu’il y a de plus mauvais et n’en retiennent que les quelques secondes d’euphorie et d’adrénaline.

Kindhearted
« Invisible threads are the strongest ties. »

Derrière ces armures et blocages, Isamu n’est pas étranger à la peine d’autrui. Il aura cette tendance naturelle à aller vers les plus démunis que lui, protéger un enfant plus petit, tendre un fruit à quelqu’un qui n’a pas le courage de voler pour manger où donner une pièce à celui qui a fait la manche toute la journée sans succès.
Ces liens qu’il s’efforce de tisser avec ceux qui ne représentent pas directement une menace pour lui sont ceux qu’il aurait aimé que l’on ait eu le courage de tisser avec lui. Sa gentillesse, celle-là même qu’il essaie de cacher derrière ses nombreux masques, n’est pas toujours désintéressée mais elle est toujours bienveillante. C’est d’ailleurs cette même soif de reconnaissance et d’affection qui le rend si vulnérable à la manipulation.
Paradoxalement, il aura tendance à être agressif face à une attitude qui violerait les codes ou qui serait perçue comme injuste. Isamu est quelqu’un d’instinctif, son manque de tact et d’étiquette - autre que celle de la ceinture noire - en font quelqu’un d’impulsif autant dans ses actes de gentillesse que de violence.


Exceptional
« I’m lost, trying to get found in an ocean of people. »

Loin de se sentir privilégié, il se sent pourtant spécial. Il a quelque part toujours su qu’il avait ce petit truc en plus, et ce bien avant la découverte de son don. Ce dernier n’a d’ailleurs fait que renforcer sa sensation d’appartenir à un projet plus grand, que les autres ne peuvent comprendre. Il se force à cacher ses dons, pour garder l’avantage sur les potentielles mauvaises rencontres qu’il pourrait faire et aussi pour éviter une stigmatisation supplémentaire.
Ceci étant dit, il veut faire ses preuves, montrer de quoi il est capable et, dans un sens, le fait déjà à son échelle. Sans être égocentrique, il aime l’attention, s’accorder la valeur qu’on ne lui a jamais donné. Gagner ne lui suffit pas, il faut que les autres perdent.
Mais Isamu grandit, psychologiquement et physiquement. Il sent une distance se créer entre lui et ses camarades. Un jour il aimerait passer à autre chose, et bien qu’il n’ait pas connu que la rue, c’est bien elle qui l’a façonné et marqué au fer rouge. Peut-être qu’un jour quelqu’un ou quelque chose fera en sorte qu’il pourra exprimer le potentiel qu’il pense avoir. Ou au contraire, le détruira un peu plus. C’est un sacrifice qu’il est prêt à faire, et sans doute la seule chose qui pourrait le sortir de son rythme de vie actuel. Sa sœur s’en est sortie, elle, alors pourquoi pas lui ?...

Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?

Le jeune Kuroda n’a pas encore été recruté. Il vit à Asatsuyu dans le quartier des épices, dans les méandres de la ceinture noire. Du fait de cette proximité avec le clan Shinnin, il est fort probable que ce dernier aura vent des dons d’Isamu le premier. Mais Isamu n’a pas réellement d’attache, il ira là où l’on croira en lui et avec la personne ou l’évènement qui lui ouvrira une porte de sortie.

Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?

Tsukuri :

Ils ne vivent pas la même réalité que lui, il les imagine richement vêtus et égoïstes. Ce n’est pas qu’il puisse réellement juger par lui-même, étant donné qu’il n’est même pas certain d’en avoir déjà vu. C’est ce que les gens disent. Alors quand il voit quelqu’un d’un peu hautain pour lui c’est un Tsukuri. Ils ne sont que façade, il n’y a rien de pire qu’un ennemi qui se cache derrière un sourire et de la bienveillance. Ils ont créé les épreuves pour asseoir leur autorité et c’est pour ça que l’invaincu est très probablement un Tsukuri… Si tout le monde triche alors personne ne devrait se plaindre que lui le fasse aussi.

Kodama :

Isamu ne sait pas grand-chose d’eux. Il ne connaît que deux opposés : ceux qui viennent dans le quartier pour se défouler, et ceux qui souhaitent les aider. Parfois il profite des bonnes âmes qui distribuent des vivres aux gens comme lui, ou qui dispense quelques cours en tentant d’éduquer les masses… ou encore ceux qui leur proposent des potions expérimentales pour les aider à mieux vivre leur quotidien. Même si un jour un de ses camarades ne s’est pas relevé d’un des liquides qu’on lui avait donnés… mais personne ne les a cru.
Il caresse l’espoir qu’un jour le chakra sera expliqué. Peut-être qu’il pourrait le débarrasser de son don… Non pas qu’il n’aime pas l’utiliser mais… la vie ne serait que plus facile non ? Plus besoin de se cacher… La science Kodama c’est en quelque sorte la lumière au bout du tunnel. Une lumière aveuglante d’inconnues.

Shinnin :

Le seul quartier dont il connaisse les recoins par cœur. Alors forcément le clan Shinnin est comme une seconde famille, et ce malgré tous ses défauts. Il sait bien que ce n’est pas le plus noble, ni le plus novateur, et il n’est pas sans ignorer tout des sombres détails comme le trafic de drogue, la prostitution et les assassinats. Mais le clan Shinnin est le seul duquel il ne se sent pas viscéralement rejeté. C’est difficile pour lui de s’imaginer quitter tout ce qu’il a connu, et sa propre famille… même si les contacts avec cette dernière sont plutôt stériles.

Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?

Isamu a grandi dans le quartier des épices, parmi le clan Shinnin, en plein cœur de la ceinture noire, les bas-fonds de la société, celle que l’on aimerait faire disparaître : soit par l’éducation, soit par la force. Loin d’avoir toujours vécu dans les rues, ses parents ont une petite bâtisse de fortune, il y passe pourtant le plus clair de son temps car il ne supporte plus qu’on lui dise quoi faire lorsque ses propres parents foutent leur vie et la sienne en l’air.
Alors il vagabonde, chaparde parfois mais cela reste occasionnel et jamais pour de gros larcin. Un fruit, une poignée de noix, plus pour le sport que par nécessité, enfin ça c’est ce qu’il dit, par fierté. Il s’est fait prendre plus d’une fois et ça lui a valu de sacrées punitions, administrées par la population ou une fois à la maison… alors maintenant il y réfléchit à deux fois.
Pour les gens de la ville, ce n’est qu’un jeune homme comme les autres. Il devient un peu turbulent lorsqu’il est en bande mais seul c’est un garçon serviable, et étrangement avenant quoi qu’un peu menteur et soupe au lait. La plupart des gens se rappellent de lui seulement s’ils en ont été la victime. La vérité c’est qu’il n’est personne dans la société, un parasite tout au plus.

Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?

Au début, il était terrifié. Il ne savait pas ce qui lui arrivait. Il a mis du temps avant d’en parler à ses parents, un bon 6 mois. Depuis, cela fait environ 1 an qu’ils lui ont dit de ne jamais s’en servir en public, qu’animer les objets n’était pas un jeu ou quelque chose dont il devait être fier. Isamu est en total désaccord et bien qu’il ne passait déjà pas beaucoup de temps chez lui, il est clair que cette attitude a fait en sorte qu’il s’est davantage perdu dans les méandres de la ceinture noire. S’il ne peut pas utiliser son don en plein jour, alors il le ferait dans l’ombre, là où les gens se rendent compte de son utilité.

Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour l'argent, le peuple démuni, et les coups fourrés ?

L’argent il n’en a jamais eu beaucoup et le peu qu’il obtient il le perd immédiatement dans les opioïdes. La majorité du temps il troquera avec ses camarades. S’il aimerait en avoir ? Bien sûr. Si vous lui posez la question il vous dira qu’il aimerait être riche ! Qui n’aimerait pas ça.
Il est persuadé que grimper l’échelle sociale est possible, mais pour ça il lui faudrait une chance, et il est beaucoup plus simple de passer certaines portes avec un tael qu’avec un sourire. Son rapport avec l’argent est conflictuel, il le désire autant qu’il le terrorise. C’est difficile de faire disparaître de l’argent si on se fait prendre, beaucoup moins excusable également… Voler pour manger, les gens peuvent comprendre, voler pour voler se termine rarement bien.
Isamu n’a pas le choix, il est coincé depuis sa plus tendre enfance dans le quartier des épices. Ce n’est pas un départ qu’il a choisi. Il côtoie la misère au quotidien, est autant victime que bourreau lorsqu’il vient le temps de faire de mauvais coups. Ce serait hypocrite de sa part de les condamner. Il sait que c’est mal, mais quel autre choix a-t-il ?

Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.

1. Maîtriser son don, en être fier, prouver aux autres que ce qu’il apprendra être appelé le « Kugutsu » peut être utile, que ce soit dans un domaine militaire ou un autre. Il trouvera bien sa place un jour ! Peut-être que lui aussi pourrait explorer le monde, ou inventer un truc cool ! Il aimerait qu’on le connaisse pour autre chose qu’un voleur à l’étalage et un délinquant.
2. Renouer avec sa sœur. Il ne sait pas trop ce qu’elle est devenue, leur dernière rencontre s’est soldée par des mots très durs de sa part envers Isamu. Il pense qu’elle le déteste, qu’avoir un frère aussi bête et pauvre est une honte qu’elle ne peut pas se permettre. Il lui prouvera le contraire, héros ou criminel, il lui prouvera qu’elle aura de quoi être fière.
3. Une meilleure situation et/ou un mentor. Il a conscience qu’il est né dans le quartier populaire et que son accès à l’éducation est limité par rapport à d’autres privilégiés. Il se sait en retard en terme de lecture, d’écriture, d’esprit critique… Et vue l’attitude de ses parents, ce ne sera pas avec eux qu’il pourra en apprendre plus sur qui il est ou le monde dans lequel il vit.

Racontez un évènement marquant de la vie de votre personnage. : 1ère utilisation de son don.


- « Oi ! Masui ! appela une voix soufflée au milieu de la nuit. Pssst ! »

Un caillou vola contre la paroi d’une bâtisse bancale, entremêlement de bois, de tissus et de pierres à peine colmatées. Puis un deuxième, finalement du bruit se fit entendre à l’intérieur. A l’extérieur, le bras armé, prêt à lancer un troisième projectile, le garçon semble attendre une réponse qu’il finit par obtenir lorsque le drap qui servait de porte se souleva pour laisser apparaître Isamu, il devait avoir treize ans, son camarade semblait être âgé du double et l’attendait de pied ferme.
Il était tard mais ces escapades n’étaient pas rares, ses parents avaient abandonné l’idée de l’en empêcher, à moins que le simple bruit d’un caillou se noyait dans le brouhaha des renards tentant de se rapprocher des poulaillers à une cinquantaine de mètres de là :

- « On a besoin de toi. Magne-toi. »

Flatté par cet aveu, Isamu ne prononça pas un mot et suivit l’homme. Dans les ruelles de la ceinture noire, ordures et les personnes ivres étaient autant d’obstacles bruyants à enjamber. L’odeur de l’un comme l’autre était très facile à identifier à cause de la lourdeur de l’été. Il se glissèrent à travers le bidonville labyrinthique avec une facilité déconcertante. Tous les deux connaissaient le chemin :

- « Encore l’izakaya ? demanda-t-il, à la fois curieux et las. »

Cela faisait plusieurs nuits ce mois-ci qu’un bar local offrant de la nourriture de médiocre qualité avait été la cible de la bande de délinquants de laquelle faisait parti le Kuroda, du moins, quand ils daignaient lui parler en dehors des moments où ils avaient besoin de lui. Il n’eut pour réponse qu’un long soupire et un drap qu’on ‘’oublia’’ de retenir et qu’il se prit en pleine figure.
Après plusieurs minutes, ils rejoignirent finalement un groupe de cinq ou six adolescents, tous plus âgés qu’Isamu. Pour eux, il était Masui, comme il était coutume dans le monde de la rue d’avoir un nom pour les proches et un autre pour les autorités. Les « grands » se concertèrent un moment, les regards retombèrent sur le jeune adolescent. Le temps de lui expliquer le plan et il était déjà sur le toit fragile de l’izakaya. Les tuiles grinçaient mais au moins elles résistaient à son poids, ce qui n’aurait pas été le cas pour les autres malfaiteurs. Il pénétra dans l’habitation par une fenêtre qui était ouverte en cette chaleur étouffante. Sur la table un trousseau de clefs, il savait laquelle prendre, il le fit. Plusieurs tintements ne semblèrent alerter personne. Doucement il descendit les marches le menant au rez-de-chaussée. Il rentra la clef dans la serrure mais tout sembla tourner dans le vide. D’un coup, une vitre se brisa, il entendit des bruits de pas fuyants, la bande se dispersait. Il fallait qu’il parte et vite, il retira la clef et fit volte-face :

- « Alors comme on se retrouve petit salopard ! »

Le cœur d’Isamu tomba dans son estomac. Devant lui le propriétaire de l’izakaya, furieux, un regard animal, il tenait dans sa main ces petits balai à main fait en tige de bambou. De panique Isamu tenta de repasser par la porte qui était fermée, l’homme lui attrapa le bras et le souleva presque du sol :

- « Les sales gosses dans ton genre je leur apprends la discipline. Sois content de garder ton nez ou tes oreilles ! »

Les coups se mirent à pleuvoir, chaque branche s’arquait dans une courbe presque parfaite qui épousait les formes de son torse et de son dos, ses cris n’amadouèrent pas le propriétaire qui – à juste raison – en avait plus qu’assez et ne laissera pas le voleur responsable de ses pertes s’en sortir avec des excuses. Les pleurs du garçon ne l’empêchèrent pas de le dénuder. Nu comme un ver contre la porte, un liquide rouge et chaud lui dégoulinant le long du dos, il vit au loin sa bande « d’amis ». La honte l’envahit au point qu’il devint silencieux, il se recroquevilla par terre, pleurant toutes les larmes de son corps alors que les coups de l’homme ne prenaient que plus d’ampleur maintenant qu’ils descendaient sur lui avec la force d’un coup de tonnerre. Après un moment qui lui paru une éternité, l’homme le prit par la main avec force et le chassa de chez lui en le jetant dans la rue, Isamu tomba, ses affaires tombèrent sur lui, également jetées par le propriétaire :

- « Regardez, le vieux vient de sortir ses poubelles ! »

Comme les hyènes qu’ils étaient, ils se mirent à rire, l’un d’eux en particulier, celui qui était venu le chercher s’approcha. Il se prit les blâmes les plus injustes, il avait été ‘’trop long’’, on lui arracha le pantalon qui n’avait pas eu le temps de remettre, on lui fit les poches, on lui cracha dessus. Ces personnes qu’il pensait être sa bande s’étaient retournés contre lui à la moindre preuve de faiblesse et bon sang il n’avait que treize ans. En lui tournoyait une honte qui s’entre-coupait de sueur froide et d’une vague de haine immense.
Une vague qui bientôt se transforma en typhon destructeur, Isamu regarda autour de lui et vit le bout de verre, triangle acéré reflétant les rares rayons de lunes qui filtrait à travers les nuages. Si seulement… si seulement… Et puis ils commencèrent à évacuer leur frustration sur lui, coups de pieds, de poings, qu’eux prenaient comme un jeu mais qui terrorisèrent Isamu. Comment pouvait-il savoir qu’il s’agissait d’un bizutage ?... Il hurla pour sa vie, ignorant qu’elle n’était pas en danger. Et d’un coup le bout de verre vola comme un boomerang dans le visage de l’un de ses assaillants et tomba à ses pieds, juste devant Isamu, presque dans sa main. Il s’en saisit à deux mains et le planta dans la jambe de son ennemi le plus proche et ne s’arrêta plus avant que ses propres mains ne soient entaillées, victime de sa propre furie. Il ignorait comment il avait fait pour que ce bout de verre ne vienne à lui, mais il en était persuadé : il l’avait fait, ce n’était pas un coup de chance et plus personne ne l'humilierait jamais plus.

Origine de votre avatar ? : Aomine Daiki de Kuroko no basuke
Comment avez-vous connu le forum ? Top site
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? : Je connais pas shippuden mais ça ne devrait pas poser de problème ici.
Est-ce votre premier forum RPG ? : Non

Bienvenue sur TnH. Outre l’erreur dans le code (couleur Kodama), tout est nickel. Tu as bien fait de nous offrir ce personnage, plutôt que de te lancer sur le prédéfinis. Bien joué.

J’ai beaucoup aimé ton écriture. Elle semble simpliste à première vue, mais c’est terriblement efficace. Tu t’es parfaitement approprié le contexte et je te félicite pour cela. Ce bon Masui est un personnage plus qu’intéressant, j’ai hâte de suivre tes aventures avec lui.

Concernant ton allégeance, tu es obligé de servir l’une des trois factions. Concernant ton personnage : Voilà bien longtemps que Masui n’est plus bizuté ni humilié. Bien au contraire, cette bande plus âgée lui voue une loyauté sans faille. Il est à la tête d’un petit escadron de bambin diablement efficace. En raison de ceci, je peux d’ores et déjà t’offrir deux voies.
Concernant Azusa, tu serais son rabatteur personnel. Peu connaissent le quartier des épices aussi bien que ta bande, et bien que jeunes, vous valez tous pour un homme. En plus de ça, ce ne serait pas rare que vous devez vous salir les mains...
Concernant Jin, tu serais un membre de sa ligue de justicier qui veille au bien de la communauté. Ta bienveillance est louée et tu es l’une des figures de proue – à ton plus grand dam. Il faut nettoyer ces rues viciées et offrir un meilleur futur aux plus jeunes.

Tu peux décider de refuser cette offre, comme tu peux décider d’accepter l’une des deux voies. Il t’est bien sûr permit de jouer sur les deux tableaux. Je te laisse y réfléchir !

Nous avons le plaisir de te déclarer 的屋 Tekiya de rang C.
Étape importante avant de pouvoir débuter ton aventure, nous t’invitons à créer un sujet dans la partie Réputation.
N'hésite pas à rejoindre le Discord du forum, ou à Demander un RP pour commencer ton aventure !
Ta fiche technique et ta couleur te seront bientôt attribuées. Bon jeu à toi !