Identité
素性 Sujou
素性 Sujou
Nom : Tomoe
Prénom : Mirai
Sexe : Femme
Année de naissance supposée : -23 (25 ans)
Pouvoir : Bakuton
Prénom : Mirai
Sexe : Femme
Année de naissance supposée : -23 (25 ans)
Pouvoir : Bakuton
Personnalité
人格 Jinkaku
人格 Jinkaku
Mère malgré moi ~ Maternelle & Protectrice
Je suis plutôt altruiste, mais je n’en ai pas les moyens. Aider tout le monde ? C’est impossible. Pas à mon échelle. Pour quelqu’un de mon âge, j’ai déjà beaucoup trop de personnes sous ma responsabilité. Quatorze petits ? Peu de mères peuvent s’en vanter à un quart de siècle. Je me démène pour eux - et pour mes rares amis. Le reste du monde attendra pour l’instant.
Fight clubbeuse ~ Violente & Téméraire
J’aime me battre. Quand la situation tourne en rond ou que je suis acculée, je cogne la première. Parfois ça me joue des tours - ma mâchoire en garde les stigmates. Bien souvent, l’attaque est ma meilleure défense. Je sais où frapper. Et je le fais fort et bien. Maintenant que ma réputation me précède dans la Ceinture, les ennuis m’évitent - quand je ne me jette pas à corps perdu dedans.
Bombe à retardement ~ Instable & Vindicative
On me dit nerveuse, je ne supporte juste pas que l’on me touche ou que l’on me marche sur les pieds. Tu t’occupes de tes affaires, moi des miennes. Et si c’est imprimé sur mon front que j’ai pas envie de parler - c’est pas pour faire joli. En plus, mon corps à tendance à me trahir : mes doigts pris de spasmes, c’est un bon indicateur. À un moment où un autre, il faut que j’explose pour relâcher la pression - débrouilles-toi pour pas être là au mauvais moment. Tu connais pas le principe du langage non verbal ? Apprentissage en accéléré : quand mon talon touche ta rotule et que ça fait boum puis crac. C’est qu’il fallait s’écarter plus tôt.
Enfant des bas quartiers ~ Avenante & Méfiante
Je suis curieuse et ouverte aux autres, très proche de mes rares amis et parfois, un peu trop tactile. Mais une grande prudence est un gage de sécurité dont je ne saurais me passer. Je garde à l’oeil les étrangers qui m’approchent et je n’offre ma pleine confiance qu’une seule fois. Ne me le faite pas regretter, la loi du Talion est inscrite dans mes veines.
Désillusionnée repentie ~ Blasée & Optimiste
Je n’attends pas grand-chose de ma vie et de notre monde, je survis plus que je ne vis : si je fais attention à ne pas crever, c’est surtout pour ceux qui comptent sur moi. Pourtant… De nombreuses portes s’ouvrent à moi depuis que mes poings peuvent détruire des os et des murs. Je ne sais pas encore où tout cela va me mener - d’autant que je ne suis pas la seule à se découvrir une originalité, mais pour la première fois depuis que mes rêves d’enfance ont été piétinés, je ressens un brin d’excitation quand je songe à l’avenir.
Une âme parmi tant d’autres ~ Humble & Ascète
Je ne pense pas avoir une destinée, même si je sors à présent du lot - un Dieu qui me donne une chance de briller ? Peut-être. Qu’importe le futur qui s’offre à moi, je ne dois pas oublier d’où je viens. Faire avec peu, ça a toujours été mon mode de vie. Si un jour, je dois me plaindre d’avoir trop, je partagerais avec ceux qui n’ont pas assez.
Guerrière mais femme ~ Soignée & Féminine
Je n’ai jamais eu l’argent ni l’ambition de ressembler à une grande Dame. On m’a cependant appris à prendre un minimum soin de moi : je me lave et je me peigne, ce qui est déjà plus que la majorité des habitantes de mon quartier. J’ai bien sûr eu l’occasion de fricoter avec quelques garçons mais l’engagement, dans un cas comme le mien, c’est bien trop compliqué. Non pas que je sois vilaine, au contraire… Ma vie actuelle ne me le permet tout simplement pas.
Je suis plutôt altruiste, mais je n’en ai pas les moyens. Aider tout le monde ? C’est impossible. Pas à mon échelle. Pour quelqu’un de mon âge, j’ai déjà beaucoup trop de personnes sous ma responsabilité. Quatorze petits ? Peu de mères peuvent s’en vanter à un quart de siècle. Je me démène pour eux - et pour mes rares amis. Le reste du monde attendra pour l’instant.
Fight clubbeuse ~ Violente & Téméraire
J’aime me battre. Quand la situation tourne en rond ou que je suis acculée, je cogne la première. Parfois ça me joue des tours - ma mâchoire en garde les stigmates. Bien souvent, l’attaque est ma meilleure défense. Je sais où frapper. Et je le fais fort et bien. Maintenant que ma réputation me précède dans la Ceinture, les ennuis m’évitent - quand je ne me jette pas à corps perdu dedans.
Bombe à retardement ~ Instable & Vindicative
On me dit nerveuse, je ne supporte juste pas que l’on me touche ou que l’on me marche sur les pieds. Tu t’occupes de tes affaires, moi des miennes. Et si c’est imprimé sur mon front que j’ai pas envie de parler - c’est pas pour faire joli. En plus, mon corps à tendance à me trahir : mes doigts pris de spasmes, c’est un bon indicateur. À un moment où un autre, il faut que j’explose pour relâcher la pression - débrouilles-toi pour pas être là au mauvais moment. Tu connais pas le principe du langage non verbal ? Apprentissage en accéléré : quand mon talon touche ta rotule et que ça fait boum puis crac. C’est qu’il fallait s’écarter plus tôt.
Enfant des bas quartiers ~ Avenante & Méfiante
Je suis curieuse et ouverte aux autres, très proche de mes rares amis et parfois, un peu trop tactile. Mais une grande prudence est un gage de sécurité dont je ne saurais me passer. Je garde à l’oeil les étrangers qui m’approchent et je n’offre ma pleine confiance qu’une seule fois. Ne me le faite pas regretter, la loi du Talion est inscrite dans mes veines.
Désillusionnée repentie ~ Blasée & Optimiste
Je n’attends pas grand-chose de ma vie et de notre monde, je survis plus que je ne vis : si je fais attention à ne pas crever, c’est surtout pour ceux qui comptent sur moi. Pourtant… De nombreuses portes s’ouvrent à moi depuis que mes poings peuvent détruire des os et des murs. Je ne sais pas encore où tout cela va me mener - d’autant que je ne suis pas la seule à se découvrir une originalité, mais pour la première fois depuis que mes rêves d’enfance ont été piétinés, je ressens un brin d’excitation quand je songe à l’avenir.
Une âme parmi tant d’autres ~ Humble & Ascète
Je ne pense pas avoir une destinée, même si je sors à présent du lot - un Dieu qui me donne une chance de briller ? Peut-être. Qu’importe le futur qui s’offre à moi, je ne dois pas oublier d’où je viens. Faire avec peu, ça a toujours été mon mode de vie. Si un jour, je dois me plaindre d’avoir trop, je partagerais avec ceux qui n’ont pas assez.
Guerrière mais femme ~ Soignée & Féminine
Je n’ai jamais eu l’argent ni l’ambition de ressembler à une grande Dame. On m’a cependant appris à prendre un minimum soin de moi : je me lave et je me peigne, ce qui est déjà plus que la majorité des habitantes de mon quartier. J’ai bien sûr eu l’occasion de fricoter avec quelques garçons mais l’engagement, dans un cas comme le mien, c’est bien trop compliqué. Non pas que je sois vilaine, au contraire… Ma vie actuelle ne me le permet tout simplement pas.
Philosophie
思想 Shisou
思想 Shisou
Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?
C’est intimement lié à la découverte de mon pouvoir. Monsieur Tomoe qui possédait l’orphelinat a été emporté par l’âge et sa femme - notre mère adoptive et son unique héritière, partagea son sort peu après. Devinez qui a eu la brillante idée de réclamer la propriété de ses biens ? Je ne suis toujours pas sûr qu’il s’agissait de sbires d’Azusa, mais bordel, ils ont dégusté. Et ils étaient cinq !
Ça aurait pu très mal tourner à partir de là si Sadaharu n’avait pas intercédé auprès du clan Kodama en ma faveur - ils ont accepté de prendre en charge les blessés, de racheter l’orphelinat et de payer mon ardoise aux Shinnins. On est logé à l’oeil avec les petits même si je dois toujours m’occuper du reste - bref, la situation n’a pas changé.
Sauf que maintenant je dois rendre des comptes. Et des services. Parfois on me paye même pour ça : pas de quoi me plaindre.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Le système est pourri depuis son origine. Quand dans le même clan se trouvent les plus altruistes et les pires enfoirés, c’est quand même qu’un truc déconne. Je ne préfère pas m’attarder sur les petits roitelets en herbe - je les méprise. Les Kodamas ? Trop de mystères à mon goût… Mais ils m’ont sorti d’un mauvais pas et je n’aime pas avoir des dettes. Si j’ai un jour l’occasion de tout balayer d’un revers de main, j’accompagnerais l'acte d’un sourire satisfait.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Je n’ai pas eu la chance de connaître mes parents et je n’ai jamais cherché à savoir qui ils étaient. Pourquoi ? J’ai toujours préféré me dire qu’ils étaient mort - et que je n’avais pas été abandonnée. Monsieur et Madame Tomoe m’ont accueilli alors je marchais déjà depuis quelques années et je n’ai aucun souvenir de ma vie d’avant : c’est sans importance.
Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dû participer pour que tout le monde puisse manger : le couple avait le coeur bien plus large que la bourse et ils ont toujours fait autant que possible pour nous. Cueillir des baies, je maîtrise. C’est mon domaine de compétence officiel. Officieusement, j’allège les étals et la ceinture des bienheureux de la ville. La situation m’a parfois forcée à emprunter de l’argent mais les Kodamas ont effacé mes dettes - je ne retomberais pas dans ce piège une nouvelle fois.
Aujourd’hui, j’ai remplacé mes parents adoptifs : je gère une troupe de quatorze enfants dont les âges vont de trois à seize ans. Je m’en sors comme je peux et j’évite tant que possible de retourner à mes anciens amours - mes erreurs peuvent retomber sur mes bienfaiteurs et mes protégés à présent, quelque chose que je préfère éviter. Comme les plus grands peuvent prendre en charge les plus jeunes, j’ai un peu de temps libre pour rendre service à mes nouveaux propriétaires. Je dois m’attendre à un peu d’action ?
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
J’ai été surprise. Cogner quelqu’un, entendre une détonation et le voir s’écraser contre un mur avec les côtes fracturées, la tenue en lambeaux et la peau roussie… Ça surprend. Sur le moment, je n’ai pas trop pu me poser de questions. Je crois qu’ils appellent ça “Chakra” ? J’ai aussi entendu parler de “Bakuton” ? Sincèrement, je ne comprends pas ce qui m’arrive - la seule chose qui me rassure c’est que je ne suis pas la seule. Je soupçonne le clan Kodama d’y être pour quelque chose mais je n’ai pas la moindre preuve de ce que j’avance. Sadaharu pense que c’est une maladie qu’il faut guérir mais je suis plus mitigée sur le sujet. Aucune personnalité importante des clans ne semble avoir été touché, au fond de moi, je crois qu’il s’agit plutôt d’une bénédiction.
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour la science, la recherche historique, et la nature ?
Ce sont des disciplines et des considérations intéressantes et parfaites pour des gens qualifiés qui sont capables d’y consacrer du temps. Ce n’est pas mon cas.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Protéger l’orphelinat et les enfants de toutes les menaces.
2. Rembourser ma dette auprès des Kodamas.
3. Comprendre ce qui arrive à mon corps, en mesurer la portée et pour une fois, songer à l’avenir.
Racontez un événement marquant de la vie de votre personnage.
Je ne pensais pas être capable de faire confiance à quelqu’un d’autre que mes frères et soeurs. Jusqu’au jour où j’ai rencontré Sadaharu.
Les raisons pour lesquelles je passais par là ne me reviennent pas. Qu’aurais-je dû faire en voyant un adolescent s’attaquer à trois brutes bien plus âgées ? Laisser échapper un hoquet de stupeur comme tous les lâches et les pimbêches qui étaient présents ce jour-là ? Ces enfoirés m’étaient bien connus et j’avais déjà eu affaire à eux - mais les miens avaient appris à les éviter en respectant mes consignes.
Pourtant, alors que je pensais ne plus connaître d’ennuis avec ces sales types, quelqu’un se décidait enfin à agir : pourquoi fallait-il que ce soit un gosse solitaire ?
Un banc. C’est le premier truc à peu près solide qui se présenta à ma vue et le craquement du bras d’un agresseur fut l’indicateur de mon entrée en lice. J’étais déjà une véritable terreur à l’époque, une brute impulsive et violente à souhait. S’ils n’avaient été que trois, nous aurions vaincu. Mais les vermines, comme les hyènes, pullulent. Nos adversaires étaient trop nombreux pour deux héros du peuple en herbe, aussi bons combattants soient-ils.
Deux doigts de ma main droite avaient fini par céder contre une mâchoire à force de chocs. Mon talon rencontra un tibia sans l’impact suffisant pour le faire céder : je commençais à perdre en panache. Le conflit prit une nouvelle tournure quand des dagues et des poignards firent leur apparition dans l’arsenal du conflit. Le petit homme que je m’étais décidée à assister gisait au sol, le visage balafré à vie. Je ne devais pas payer mine non plus avec mes bras lacérés et mon visage tuméfié. Je savais recevoir autant que donner mais comme tout, mon corps avait ses limites. Et elles étaient dépassées depuis un moment.
Ce qui nous sauva la vie ? L’intervention tardive mais bienvenue de la milice des Shinnin. J’étais à peine capable de parler avec ma mâchoire brisée et fuir était hors de ma portée - pas sans le gosse. Était-ce notre héroïsme suicidaire qui avait finalement motivé la foule ? La garde mit le grappin sur presque toute la bande que nous affrontions : plus de la moitié gisait au sol et l’autre n’eut pas le temps de fuir. Les témoignages abondèrent dans notre sens et aucun compte ne nous fut demandé.
Nous n’avions cependant ni l’un ni l’autre les moyens de nous offrir les services d’un médecin compétent. On m’aida à trainer mon allié de fortune chez mes parents le temps qu’il se remette. Depuis cette époque, il y a quatre ans, je crois que nous n’avons jamais perdu contact.
C’est intimement lié à la découverte de mon pouvoir. Monsieur Tomoe qui possédait l’orphelinat a été emporté par l’âge et sa femme - notre mère adoptive et son unique héritière, partagea son sort peu après. Devinez qui a eu la brillante idée de réclamer la propriété de ses biens ? Je ne suis toujours pas sûr qu’il s’agissait de sbires d’Azusa, mais bordel, ils ont dégusté. Et ils étaient cinq !
Ça aurait pu très mal tourner à partir de là si Sadaharu n’avait pas intercédé auprès du clan Kodama en ma faveur - ils ont accepté de prendre en charge les blessés, de racheter l’orphelinat et de payer mon ardoise aux Shinnins. On est logé à l’oeil avec les petits même si je dois toujours m’occuper du reste - bref, la situation n’a pas changé.
Sauf que maintenant je dois rendre des comptes. Et des services. Parfois on me paye même pour ça : pas de quoi me plaindre.
Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?
Le système est pourri depuis son origine. Quand dans le même clan se trouvent les plus altruistes et les pires enfoirés, c’est quand même qu’un truc déconne. Je ne préfère pas m’attarder sur les petits roitelets en herbe - je les méprise. Les Kodamas ? Trop de mystères à mon goût… Mais ils m’ont sorti d’un mauvais pas et je n’aime pas avoir des dettes. Si j’ai un jour l’occasion de tout balayer d’un revers de main, j’accompagnerais l'acte d’un sourire satisfait.
Comment votre personnage a-t-il grandi dans la cité ? Quelle place occupe-t-il ?
Je n’ai pas eu la chance de connaître mes parents et je n’ai jamais cherché à savoir qui ils étaient. Pourquoi ? J’ai toujours préféré me dire qu’ils étaient mort - et que je n’avais pas été abandonnée. Monsieur et Madame Tomoe m’ont accueilli alors je marchais déjà depuis quelques années et je n’ai aucun souvenir de ma vie d’avant : c’est sans importance.
Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dû participer pour que tout le monde puisse manger : le couple avait le coeur bien plus large que la bourse et ils ont toujours fait autant que possible pour nous. Cueillir des baies, je maîtrise. C’est mon domaine de compétence officiel. Officieusement, j’allège les étals et la ceinture des bienheureux de la ville. La situation m’a parfois forcée à emprunter de l’argent mais les Kodamas ont effacé mes dettes - je ne retomberais pas dans ce piège une nouvelle fois.
Aujourd’hui, j’ai remplacé mes parents adoptifs : je gère une troupe de quatorze enfants dont les âges vont de trois à seize ans. Je m’en sors comme je peux et j’évite tant que possible de retourner à mes anciens amours - mes erreurs peuvent retomber sur mes bienfaiteurs et mes protégés à présent, quelque chose que je préfère éviter. Comme les plus grands peuvent prendre en charge les plus jeunes, j’ai un peu de temps libre pour rendre service à mes nouveaux propriétaires. Je dois m’attendre à un peu d’action ?
Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?
J’ai été surprise. Cogner quelqu’un, entendre une détonation et le voir s’écraser contre un mur avec les côtes fracturées, la tenue en lambeaux et la peau roussie… Ça surprend. Sur le moment, je n’ai pas trop pu me poser de questions. Je crois qu’ils appellent ça “Chakra” ? J’ai aussi entendu parler de “Bakuton” ? Sincèrement, je ne comprends pas ce qui m’arrive - la seule chose qui me rassure c’est que je ne suis pas la seule. Je soupçonne le clan Kodama d’y être pour quelque chose mais je n’ai pas la moindre preuve de ce que j’avance. Sadaharu pense que c’est une maladie qu’il faut guérir mais je suis plus mitigée sur le sujet. Aucune personnalité importante des clans ne semble avoir été touché, au fond de moi, je crois qu’il s’agit plutôt d’une bénédiction.
Quels sentiments votre personnage éprouve-t-il pour la science, la recherche historique, et la nature ?
Ce sont des disciplines et des considérations intéressantes et parfaites pour des gens qualifiés qui sont capables d’y consacrer du temps. Ce n’est pas mon cas.
Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.
1. Protéger l’orphelinat et les enfants de toutes les menaces.
2. Rembourser ma dette auprès des Kodamas.
3. Comprendre ce qui arrive à mon corps, en mesurer la portée et pour une fois, songer à l’avenir.
Racontez un événement marquant de la vie de votre personnage.
Je ne pensais pas être capable de faire confiance à quelqu’un d’autre que mes frères et soeurs. Jusqu’au jour où j’ai rencontré Sadaharu.
Les raisons pour lesquelles je passais par là ne me reviennent pas. Qu’aurais-je dû faire en voyant un adolescent s’attaquer à trois brutes bien plus âgées ? Laisser échapper un hoquet de stupeur comme tous les lâches et les pimbêches qui étaient présents ce jour-là ? Ces enfoirés m’étaient bien connus et j’avais déjà eu affaire à eux - mais les miens avaient appris à les éviter en respectant mes consignes.
Pourtant, alors que je pensais ne plus connaître d’ennuis avec ces sales types, quelqu’un se décidait enfin à agir : pourquoi fallait-il que ce soit un gosse solitaire ?
Un banc. C’est le premier truc à peu près solide qui se présenta à ma vue et le craquement du bras d’un agresseur fut l’indicateur de mon entrée en lice. J’étais déjà une véritable terreur à l’époque, une brute impulsive et violente à souhait. S’ils n’avaient été que trois, nous aurions vaincu. Mais les vermines, comme les hyènes, pullulent. Nos adversaires étaient trop nombreux pour deux héros du peuple en herbe, aussi bons combattants soient-ils.
Deux doigts de ma main droite avaient fini par céder contre une mâchoire à force de chocs. Mon talon rencontra un tibia sans l’impact suffisant pour le faire céder : je commençais à perdre en panache. Le conflit prit une nouvelle tournure quand des dagues et des poignards firent leur apparition dans l’arsenal du conflit. Le petit homme que je m’étais décidée à assister gisait au sol, le visage balafré à vie. Je ne devais pas payer mine non plus avec mes bras lacérés et mon visage tuméfié. Je savais recevoir autant que donner mais comme tout, mon corps avait ses limites. Et elles étaient dépassées depuis un moment.
Ce qui nous sauva la vie ? L’intervention tardive mais bienvenue de la milice des Shinnin. J’étais à peine capable de parler avec ma mâchoire brisée et fuir était hors de ma portée - pas sans le gosse. Était-ce notre héroïsme suicidaire qui avait finalement motivé la foule ? La garde mit le grappin sur presque toute la bande que nous affrontions : plus de la moitié gisait au sol et l’autre n’eut pas le temps de fuir. Les témoignages abondèrent dans notre sens et aucun compte ne nous fut demandé.
Nous n’avions cependant ni l’un ni l’autre les moyens de nous offrir les services d’un médecin compétent. On m’aida à trainer mon allié de fortune chez mes parents le temps qu’il se remette. Depuis cette époque, il y a quatre ans, je crois que nous n’avons jamais perdu contact.
Alter ego
分身 Bunshin
分身 Bunshin
Origine de votre avatar ? Jade / Martina - Dragon Quest XI.
Comment avez-vous connu le forum ? Yagyū Sadaharu.
Quel est le nom de votre parrain ? Yagyū Sadaharu.
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Bof. Par contre si on m’emmerde, je connais quelques bonnes recettes de cuisine pour épicer les messages RP.
Est-ce votre premier forum RPG ? Pas vraiment.
Autre chose à ajouter ? Puff-Puff ?
Comment avez-vous connu le forum ? Yagyū Sadaharu.
Quel est le nom de votre parrain ? Yagyū Sadaharu.
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Bof. Par contre si on m’emmerde, je connais quelques bonnes recettes de cuisine pour épicer les messages RP.
Est-ce votre premier forum RPG ? Pas vraiment.
Autre chose à ajouter ? Puff-Puff ?