rendez-vous galant
ft. Arai Kisaragi
Aujourd’hui, l’érudit passait sa journée avec le goût amère de l’échec cuisant de sa missive en compagnie d’Ishida Zaraki et le guide Koremasa, mais fort heureusement pour le philanthrope, l’intégralité du groupuscule était en un seul morceau.
Lors de son contrat, Ameyūri Tengen avait préféré sauver la vie de ses camarades et laisser filer la suspecte plutôt que de la poursuivre et mettre en danger la vie d’autrui. Cet acte fut un mal pour un bien, car le lendemain de la mission, un mot était parvenu au domicile de l’Ameyūri. Signé en main propre de la patronne des alchimistes.
Heureux élu, Arai Kisaragi le remerciait pour le comportement de Tengen suite à l’enquête menée, elle disait aussi reconnaitre les compétences du philanthrope, jusqu’à même le proposer en tant que Gakusha de Kodama aux grandes instances. Que de bonnes nouvelles finalement pour l’érudit qui prenait directement le chemin de l’atelier afin d’y retrouver la patronne. Il avait tout de même quelques questions à lui poser.
Arrivé à bon port, l’érudit demandait poliment mademoiselle Kisaragi, ajoutant comme à son habitude, sa petite touche personnelle.
« Bien le bonjour, pourrais-je voir mademoiselle Kisaragi s’il-vous-plaît ? Nous avions rendez-vous ensemble. »
Lors de son contrat, Ameyūri Tengen avait préféré sauver la vie de ses camarades et laisser filer la suspecte plutôt que de la poursuivre et mettre en danger la vie d’autrui. Cet acte fut un mal pour un bien, car le lendemain de la mission, un mot était parvenu au domicile de l’Ameyūri. Signé en main propre de la patronne des alchimistes.
Heureux élu, Arai Kisaragi le remerciait pour le comportement de Tengen suite à l’enquête menée, elle disait aussi reconnaitre les compétences du philanthrope, jusqu’à même le proposer en tant que Gakusha de Kodama aux grandes instances. Que de bonnes nouvelles finalement pour l’érudit qui prenait directement le chemin de l’atelier afin d’y retrouver la patronne. Il avait tout de même quelques questions à lui poser.
Arrivé à bon port, l’érudit demandait poliment mademoiselle Kisaragi, ajoutant comme à son habitude, sa petite touche personnelle.
« Bien le bonjour, pourrais-je voir mademoiselle Kisaragi s’il-vous-plaît ? Nous avions rendez-vous ensemble. »