Nom : Sasaki
Prénom : Ryoma
Genre : Masculin
Année de naissance : - 48 (51 ans)
Signe particulier : A tendance à se mettre nu pour dévoiler son corps sculpté, sa fierté. C’est aussi le cousin de Sasaki Koubai
Pouvoir : Shôton 晶遁 (litt. : art de la cristallisation)

Jovial et farceur

Son rire, rauque et venant du plus profonds de son âme, était sûrement ce qu’on retenait le plus de cet homme. Ce Kodama passait son temps à dédramatiser, à tourner en dérision les événements et à raconter une anecdote, se « voulant » drôle bien souvent. L’efficience de son humour était encore à prouver. Notamment quand il radotait à propos de son lien de parenté avec le dirigeant des Kodama. De plus, en sa compagnie, tout devenait prétexte à la rigolade, ce n’était pas tant qu’il n’était pas sérieux, mais plutôt qu’il exécrait se prendre la tête. Il préférait s’amuser, défaire les mailles du destin et s’en moquer. Ainsi, durant sa longue carrière d’infirmier, de mercenaire et d’enseignant, il s’était créé une certaine réputation. La rumeur circulait qu’un être atypique, au nom glorieux, passait son temps à duper ses camarades, à s’éclaffer de joie et à, par conséquence, ruiner tout effet lié à la discrétion. Ce trait de caractère était intrinsèquement lié à son passé. A force d’enterrer compagnons et élèves, il s’était créé une carapace, une nouvelle identité. Si le destin essayait de l’avoir, il contournerait ses approches, ferait fit de sa volonté et imposera son choix. Par son rire, le passionné de mythes lançait un défi à la rudesse de la vie, jamais elle n’aura raison de lui et de sa détermination. Il se montrera plus fort que les Moires. Cette certitude était ancrée en lui, elle le faisait avancer malgré toutes les tragédies qu’il connut dans sa vie. Si bien qu’à force d’être toujours une force positive, réconfortante et un peu bruyante, des reproches fusèrent. Certains le considèrent comme insensible, sot et naïf.

Bon vivant et bon camarade

De la nourriture, de l’alcool, et un combat ! Voilà le triumvirat qui gouvernait la vie de l’épicurien. En effet, le vieil homme jouissait de tous les plaisirs et de tous les caprices de la vie sans retenue. Il se lançait toujours entièrement dans l’instant, cherchant à maximiser son plaisir et celui de ses pairs. Il était capital pour lui que le bonheur soit partagé, il plaçait une grande attention aux désirs de ses confrères et essayait toujours de mettre en place un consensus. D’ailleurs, il partageait toujours ses ressources, ne voyant jamais le mal dans aucun cœur. Pour lui, tous méritaient de l’aide et de l’affection, peu importe les actes, les dires ou les affres de la vie. Ce qui était le plus étonnant dans sa générosité, c’était qu’elle se retrouvait aussi dans ses compétences martiales. Souvent, il se restreignait, se limitait pour laisser à une âme en peine la saveur de la victoire. Néanmoins, quand son adversaire le méritait, il pouvait alors se donner à fond et vivre l’instant comme un ultimatum : vaincre ou périr. Mais une fois la lutte et les coups finis, il ramassait son partenaire de joute et s’entichait à le soigner avec ses quelques compétences de soin. Son cœur et son esprit était vierge de toute haine, il désirait au contraire étendre sa bonté à tous.

Fier et sûr de lui

Un autre marqueur de sa personne était son ego. Du fait de son passé d’aventurier, de guerrier, il avait acquis une certaine confiance en soi. Même si avec l’arrivée du chakra ses compétences furent ébranlées, il ne se laissait pas abattre. Il se relevait et s’entrainait comme durant sa jeunesse lointaine. Son corps se sculptait, se peaufinait. Il faisait l’expérience du chakra et de ses miracles. Cette bénédiction tomba pile à un tournant de sa vie. A l’époque, dépassé par la fougue des éphèbes, il se pensait obsolète, bon aux tâches quotidiennes et vides de saveur. Son moral et sa confiance chutaient drastiquement vers le néant. Heureusement, Dame Fortune lui apporta ce présent et lui permit de faire de nouveau ses preuves. Partant de zéro, il était déterminé à briller comme jadis. Son patronyme ne sera plus attribué à son proche, mais à lui. Il allait rentrer dans la légende, c’était une vérité absolue pour ce combattant. Au fur et à mesure de ses affrontements, la chance et son talent se mêlèrent. Malgré quelques défaites, il ne vit pas le verre à moitié vide, bien au contraire, il rebondit et se plongea dans l’entraînement. Fier de ses techniques et de son expérience, parfois, il se berçait d’illusions et se croyait intouchable. Quand la réalité lui rappelait le contraire, il trouvait un prétexte en signe de déni. Se jurant de prendre sa revanche, en secret, il s’acharnait à pallier ses défauts pour ne plus connaître l’humiliation et l’affront. Blessez son orgueil, il niera tout impacte, toutefois préparez-vous, la prochaine fois, ce sera différent.

Brave et téméraire

L’action, encore et toujours. Rester assis à ne rien faire, ou la contemplation, ce n’était pas pour lui. Non, lui il désirait éprouver son corps et son mental. A chaque perche que lui tendait la destinée, il se ruait dessus et la saisit pour mieux briller. Nombre de fois, il lançait les hostilités avant que l’antagoniste ne commençât à être virulent. Cette vigueur lui causa quelques remontrances et quelques déconvenues… Néanmoins, il ne pouvait pas s’en empêcher, pour lui un affrontement était toujours noble et souhaitable. Ce n’était qu’ainsi qu’on déterminait la valeur d’un homme. C’est pourquoi, au fil des années, on l’appela que peu pour les missions propre à la rhétorique ou la diplomatie. Sa force était davantage sollicitée dans la répression, l’intimidation, l’escorte ou l’exploration. Une force brute certes, mais pas sans cerveau. Même si à première vue, on pouvait en douter. S’il se montrait si disposé au combat, c’était avant tout car il se fiait à son instinct. Si ses poings fusaient, c’est qu’il était persuadé de l’inutilité de l’usage de la raison. Ce n’était qu’un gain de temps à ses yeux. Malheureusement, ce n’était pas au goût de tout le monde. Dans tous les cas, jusqu’à aujourd’hui, il n’a jamais connu le souffle de l’effroi qui vous paralyse, il a toujours su dépasser sa peur viscérale pour agir.

Comment s'est passé le recrutement de votre personnage par son clan d'allégeance ?

Deux voies s’offraient au jeune enfant, il pouvait accepter les démarches de ses parents, rentrer officiellement au service du Clan et plus tard y développer une profession. Ou alors, il pouvait refuser ce chemin tout tracé, laisser libre son cœur et son destin, choisir son futur sans être lié à son patronyme et à sa famille. Sans surprise, ce fut le deuxième choix qui fut privilégié. Au vu du choc suscité par cette décision au sein de sa lignée, il dut à peine âgé de 10 ans quitter le havre de paix qu’était le Quartier des Lumières à ses yeux. Il s’enfonça dans l’Hypogée, étant sûr que personne ne le retrouverait. Il fit la découverte de la famine, de la peur, du danger, de l’isolement. Tant de sensations, de frémissements, de tourments, il n’avait pas saisi les conséquences de son choix. Heureusement, il trouva un homme pour l’endurcir et l’aider dans sa vie de troglodyte. Au fil des ans, un lien fort les unirent, ils devinrent comme père et fils, luttant contre la maladie et les périls des sombres tunnels. Son corps se forgea, devint plus vigoureux, plus solide. Loin de la politique des Clans et des intrigues familiales, la vie paisible du jeune garçon fit de lui un homme droit, honnête et courageux. Pourtant, le destin est cruel, à ses 16 ans, son pilier, son seul repère mourut. De nouveau seul, il se rua vers son ancien foyer, emporté par la peine. C’était trop difficile d’arpenter les souterrains, à chaque angle, il espérait revoir son mentor. Son fantôme le hantait comme les étoiles harcèlent la lune de leur présence. Mettant sous silence cette expérience traumatique, il inventa une histoire pour rassurer ses proches, les rejoindre et intégrer le clan en tant que mercenaire. Encore aujourd’hui, rares sont ceux connaissant son passage de près de 6 ans dans l’Hypogée.

Quels sont les objectifs de votre personnage ? Donnez trois axes principaux de développement.

1. Eclipser Koubai et sa renommée, devenir le premier Sasaki dans l’esprit et le cœur des gens.
2. Aider l’Hypogée à devenir un village autonome, éclipsant Asatsuyu.
3. Découvrir et comprendre tous les mythes et les légendes de Kusajin et du monde. 

Que pense votre personnage des trois clans fondateurs d'Asatsuyu no Sato ?

Son clan d’origine et de cœur, les Kodama, restait une ancre émotionnelle très forte. Malgré sa fugue juvénile et ses débuts chaotique, en grandissant, il apprit à aimer et à respecter les érudits et leur société. Peu à peu, le bagarreur prit goût à la culture, à l’histoire, à la nature, aux sciences. Après avoir lu les préceptes de Rakka, un respect épisodique pour la faune et la flore émergea. En effet, il n’était pas aussi zélé, aussi fanatique et intransigeant, il apportait même bien souvent, à demi-mots, des critiques de cet héritage dogmatique. Toutefois, la justice implacable de Mère Nature, elle, lui paraissait légitime. La loi du plus fort, de l’adaptation primait. Au tournant de la trentaine, il devint un défenseur et un bras armé des savants. Ses connaissances étaient davantage théoriques que pratiques, mais il revendiquait aisément sa place dans ce monde de savoir et de mystère.

Les Tsukuri, eux, étaient perçus comme de nobles guerriers, des combattants fascinant et disciplinés, un idéal spartiate qu’il aimait parfois affronter dans les arènes. En vérité, il vouait une quasi-fascination pour ce groupe. Son passé glorieux, son nom et ses ambitions faisaient vibrer son être. Après tout, les plus grands faisaient partis de ce Clan : le Lion écarlate, le Watanabe, l’esclave Inka et le majestueux Wu-Tang… L’événement à la Porte d’Or renforça cette haute estime et son admiration.

Enfin, contrairement aux deux autres, le clan Shinnin ne représentait rien pour le pugiliste. Il ne méritait pas qu’on s’attarde sur eux, ce n’était que des sauvages, des primates, des avares, des escrocs. Rien ne trouvait grâce à ses yeux. Aucun honneur si ce n’est se rouler dans la fange.

Comment votre personnage a-t-il vécu l'apparition de son pouvoir ?

Alors que de plus en plus d’élèves, de jeunots et d’inconnus se levaient face à lui et l’humiliaient avec leurs dons. Le grand-père commença à douter de lui-même et emporté par le spleen, amorça un semblant de retraite. Privé de ses chers combats, il déprimait, se laissait périr, son entourage le méconnaissait. Il n’était plus que l’ombre de lui-même.

C’est à ce moment-là, que le destin lui offrit le contrôle des cristaux. Par un simple éternuement, un jaillissement brutal se manifesta. Surpris, il mit quelques instants avant de comprendre l’origine et la nature de sa bénédiction. Les mois s’écoulèrent et sa maîtrise devint de plus en plus précise. C’était tout bonnement divin, il se sentait renaître. Il avait acquis la certitude, que grâce à ces cristaux azur, il deviendrait une légende, un héros des temps modernes. De surcroît, pour ses petits-enfants, il s’amusait bien souvent à tailler ses gemmes et à en faire des décorations. C’était un moyen comme un autre d’user de son pouvoir.

Durant le Jizen'ichi, la grande kermesse ayant rassemblé le village au Kiosque, où se trouvait votre personnage ? A-t-il assisté à l'attentat, lors duquel est apparu l'arbre de cristal ? Comment a-t-il réagi face à cette attaque d'élus sans morale sur le peuple ? A-t-il fui ou combattu pour sauver ses proches ?


Durant cet événement, le vieil homme était dans l’Hypogée. Comme à son habitude, il escortait les prisonniers dans leur nouvelle demeure. C’était une tâche risquée, mais qu’il appréciait. Si geôlier était un métier reconnu et valorisé, il est certain qu’il en aurait fait sa carrière. Les bagarres et les hommes à calmer, c’était un vrai délice pour lui.

D’ailleurs, ce jour-là, il affronta une attaque surprise de troglodytes, le surnombre eut raison de lui et de sa volonté. Malgré ses compétences et sa force, il ne put résister longtemps sans renfort. Après un ultime heurt à la tête, le sommeil vint le chercher. Pendant plusieurs jours, tranquillement, il se remit de ses blessures. C’était quelque chose de très difficile pour lui, rester statique dans une chambre sans pouvoir méditer dans la Forêt Blanche. Cependant, ses proches veillaient au grain, ne lui laissant aucune possibilité de s’absoudre à sa guérison lente et rigoureuse.
Pourtant, quand il sut pour la kermesse, l’élu forçat le passage, quasi-nu avec des bandages à chaque membre. Il rejoint alors le Kiosque et vit l’arbre cristallin de ses propres yeux. Ainsi, son pouvoir pouvait donner une telle création… Si seulement il pouvait en faire autant. Un désir ardu apparut : rencontrer et apprendre d’un être ayant le même pouvoir que lui. Il lui fallait gagner en force.

Durant les Menaces d'introduction de l’Arc I, sur quel front se tenait votre personnage ? A-t-il repoussé l'armée d'animaux du nord, assisté à l'ouverture du Monolithe, ou subi la contamination de la Ceinture Noire ? Quelles ont été ses actions ? Qu'est-ce qui a changé pour lui, après ces évènements dantesques ?

Rendant une visite à un ancien camarade mission Tsukuri, il sentit la vague traverser Asatsuyu. Comme beaucoup, il accourut à la Porte d’Or. Suivant les consignes des divers généraux, il mit toute son âme au service de ces génies militaires. Il n’était pas là pour voler la vedette ou pour se montrer glorieux. Faisant sacrifice de ses envies et de son ego, il devint un simple soldat défendant une cause juste.
Néanmoins, encore une fois, sa volonté ne pouvait produire des miracles. Lorsque le tigre arriva, ses capacités passèrent totalement inaperçu, il était trop faible, un véritable figurant. Quand les flammes jaillirent, il eut juste le temps de se protéger, lui et quelques hommes tombés à terre. Malheureusement, il n’avait pas la force d’arrêter ce brasier. Encore aujourd’hui, il considère avoir la mort de nombreuses âmes sur la conscience. Après cela, il était profondément meurtri et épuisé, sa dernière vision fut le caméléon géant et ses amis humains. Une pareille bête demeurait pour le mercenaire une véritable énigme, les individus qui l’accompagnaient encore plus.

Trouvez-vous pertinente la perspective de colonisation de l'Hypogée ? Par extension, le village mérite-t-il d’avoir accès à la science ? Faut-il combattre l'analphabétisme avec hargne ?

A toutes ses questions, Ryoma répondrait OUI.
Persuadé du bienfait de la connaissance, de la culture, de l’histoire et des sciences, il souhaiterait que tous aient accès à ces bases. D’ailleurs, bien souvent, lorsque l’alcool délit sa langue, les critiques fusent sur l’inaction du Clan et la nécessité de changer de politique. Parfois, des proches bien intentionnés interviennent pour le faire taire quand il commence à s’en prendre de façon virulente à Koubai, son cousin. Son passé d’enseignant, de précepteur inclut beaucoup sur cette dimension universaliste du savoir. Au vu du bienfait que lui avait procuré le savoir, il aimerait que tous goûtent à ce nectar.

De plus, l’Hypogée est pour lui un second foyer, il désire donc l’améliorer, aider les âmes qui autrefois lui ont tendu la main. S’il avait la force, l’influence et les moyens, il ferait de ce lieu un village autonome à part entière.

Que pensez-vous de la sacralité du corps humain inhérent au village ? Ne trouvez-vous pas que cela empêche la médecine de prendre un essor considérable ? Est-ce un mal pour un bien ?

Pourquoi interdire quand cela ne nuit à personne ? Le quinquagénaire ne voyait définitivement pas pourquoi les hommes devraient se limiter à cause de valeurs spirituelles. Car après tout, ce n’était qu’un dogme lié à un soi-disant rapport à la nature, à un respect supérieur à tous les autres bénéfices. Non, pour le complotiste en herbe, ce n’était qu’un moyen de contrôler les recherches et les savoirs produits. Ainsi, seule une élite aurait accès à ses recherches taboues et à leurs résultats. C’est pourquoi, il poussait souvent ses jeunes brebis à transgresser, à se défaire des lois et des normes, mais en toute discrétion bien sûr.

Écrivez un évènement marquant, l'histoire, ou la chronologie de votre personnage.

Posséder une école et inculquer à des jeunes gens les rudiments de la vie, les savoirs simples et utilitaire, tout autant que les secrets des nobles combat, peut paraître chose aisée. Pourtant, pour le Kodama, ce fut l’une des périodes les plus noires de sa longue vie. Ce ne fut pas tellement l’enseignement, le rythme effréné des cours et de leur préparation, mais plutôt la perte de ses élèves devenus trop zélés.

A l’aube de sa quarantaine, il bâtit avec son argent un lieu d’accueil pour tout enfant cherchant à acquérir du savoir. Un travail dense certes, mais une véritable expérience humaine qui comblât l’âme de l’ancien infirmier. Le fougueux était si pressé, si confiant, si bienveillant, qu’il passait son temps à encourager, complimenter, chouchouter ses disciples. Si bien, que ces derniers en grandissant possédaient un ego et une confiance en soi rivalisant même avec celle de leur professeur émérite.
Il était fier d’eux, et au vu du succès, accepta de plus en plus de monde. Néanmoins, les premiers diplômés commencèrent à faire parler d’eux. Pas en mal bien sûr, mais plutôt pour leurs tempéraments trop explosifs, trop impétueux, trop confiant. Ils mettaient en péril inutilement leur vie, avait un trop fort sens du sacrifice. Si bien qu’au bout de dix ans, 70 % des promus moururent au combat avec les honneurs.

Bouleversé, totalement décontenancé, l’assurance du pédagogue vacilla. Il ne se sentait plus digne d’une telle charge. De plus, à la fin de cette décade, le chakra commença à poindre le jour. C’était la fin pour Ryoma. Ses élèves devinrent prétentieux, niant son autorité et son expérience, les bénédictions les avaient pourris de l’intérieur. Face à ses changements et à sa faiblesse évidente, il ne pouvait lutter. Il ferma son rêve de toute une vie, pour se morfondre et attendre la mort. Peu à peu, la flamme qui l’animait, s’estompait. Aux portes de l’enfer, il reçut un messager des dieux et acquit le contrôle de la cristallisation. Il était sauvé.

Origine de votre avatar ?Soriz de Granblue fantasy
Comment avez-vous connu le forum ? Le Destin
Quel est le nom de votre parrain ? Aucun
Est-ce un changement de personnage ? Nope
Est-ce un deuxième ou triple compte ? Double compte : Akemi Ren
Connaissez-vous l'univers de Naruto ? Oui, même si Bleach supérieur
Est-ce votre premier forum RPG ? Nope
Autre chose à ajouter ? Quelle présentation de merde, avouons-le nous *shame shame shame*.

DU SANG FRAIS !

Belle fiche que voici, même si tu en prétends le contraire. Inutile de préciser que tu maitrises le contexte (mais je le précise quand même), et ça fait très plaisir de voir notre terreau être utilisé avec brio. J'avais peur que tu comptes trop sur le nom Sasaki pour faire ta fiche et ton personnage, mais je suis maintenant rassuré. En revanche, ton évènement marquant m'a donné une idée géniale en guise de lien.



Cela pourrait te mettre sur une bonne voie.

Nous avons le plaisir de te déclarer 書生 Shosei de rang C.
Étape importante avant de pouvoir débuter ton aventure, nous t’invitons à créer un sujet dans la partie Réputation.
N'hésite pas à rejoindre le Discord du forum, et à y demander un RP pour commencer ton aventure !
Ta fiche technique et ta couleur te seront bientôt attribuées. Bon jeu à toi !