Le jouet de Kurogane allait devoir faire ses preuves, une seconde fois.
Une lumière irradia la noirceur de sa cage, elle fut si vive que ses yeux durent se clore. Aucun humain ne méritait un tel traitement, mais l’était-il vraiment ? Trois gladiateurs armés, accompagnés par l’émissaire de Kurogane, pénétrèrent son tombeau.
Le corps du Banmin pendait en l’air. Il se voyait rattacher aux murs par de puissantes chaînes. La tête rabaissée, le sang perlait de son faciès comme de son dos. Les doux plaisirs de la torture. « Faites attention. Il est éveillé. Au moindre relâchement, il pourra vous blesser grièvement. » Expliqua le petit noble aux trois armoires à glaces.
Un combat l’attendait. Les vrombissements du stade atteignaient les profondeurs du stade. L’arène était remplie à en craquer.
Trois lames effilées de posèrent sur sa peau. Les lance s’enfoncèrent très légèrement dans l’épiderme de ses flancs ainsi qu’au niveau de son abdomen. Une mesure de sécurité supplémentaire.
La vision flouée par un filet de sang, Inka se laissa faire. L’émissaire fut hissé au sol à l’aide d’un mécanisme. Ses pieds supportaient sa propre carcasse. Son regard se posa sur les trois gladiateurs, un à un. Un sourire se profila sur son faciès.
D’un simple mouvement de ses avant-bras, la chaîne se plia – puis se brisa – sous sa force nouvelle. Le Chakra habitait ses mouvements. Le Roux pouvait lire la surprise sur les visages des bourreaux. Il fit un pas en avant, les lances s’enfoncèrent un peu plus en lui. Les gladiateurs, quant à eux, tombèrent à la renverse.
Il enjamba simplement les trois faibles. Une effluve bien précise chatouillait son odorat de primate. Une force supérieure, dépassant allègrement, ces quatre hommes, se trouvait plus loin.
Sa tête se tourna vers le héraut. D’une puissante impulsion, il se jeta avec hâte dans le corridor. Il connaissait l’infrastructure sur le bout des doigts à force de se faire traîner là haut.
Ses métacarpes s’écrasèrent avec force contre la herse en fer. La porte se plia sous la force du fauve. Ce fut un Inka encore sanguinolent qui apparut à la vue de tous.
L’odeur qu’il avait flairé se trouvait ici. Il puait l’étranger, tout comme lui. Voilà un adversaire capable de contenter l’ire de l’Esprit-Libre.
Une lumière irradia la noirceur de sa cage, elle fut si vive que ses yeux durent se clore. Aucun humain ne méritait un tel traitement, mais l’était-il vraiment ? Trois gladiateurs armés, accompagnés par l’émissaire de Kurogane, pénétrèrent son tombeau.
Le corps du Banmin pendait en l’air. Il se voyait rattacher aux murs par de puissantes chaînes. La tête rabaissée, le sang perlait de son faciès comme de son dos. Les doux plaisirs de la torture. « Faites attention. Il est éveillé. Au moindre relâchement, il pourra vous blesser grièvement. » Expliqua le petit noble aux trois armoires à glaces.
Un combat l’attendait. Les vrombissements du stade atteignaient les profondeurs du stade. L’arène était remplie à en craquer.
Trois lames effilées de posèrent sur sa peau. Les lance s’enfoncèrent très légèrement dans l’épiderme de ses flancs ainsi qu’au niveau de son abdomen. Une mesure de sécurité supplémentaire.
La vision flouée par un filet de sang, Inka se laissa faire. L’émissaire fut hissé au sol à l’aide d’un mécanisme. Ses pieds supportaient sa propre carcasse. Son regard se posa sur les trois gladiateurs, un à un. Un sourire se profila sur son faciès.
D’un simple mouvement de ses avant-bras, la chaîne se plia – puis se brisa – sous sa force nouvelle. Le Chakra habitait ses mouvements. Le Roux pouvait lire la surprise sur les visages des bourreaux. Il fit un pas en avant, les lances s’enfoncèrent un peu plus en lui. Les gladiateurs, quant à eux, tombèrent à la renverse.
Il enjamba simplement les trois faibles. Une effluve bien précise chatouillait son odorat de primate. Une force supérieure, dépassant allègrement, ces quatre hommes, se trouvait plus loin.
Sa tête se tourna vers le héraut. D’une puissante impulsion, il se jeta avec hâte dans le corridor. Il connaissait l’infrastructure sur le bout des doigts à force de se faire traîner là haut.
Ses métacarpes s’écrasèrent avec force contre la herse en fer. La porte se plia sous la force du fauve. Ce fut un Inka encore sanguinolent qui apparut à la vue de tous.
L’odeur qu’il avait flairé se trouvait ici. Il puait l’étranger, tout comme lui. Voilà un adversaire capable de contenter l’ire de l’Esprit-Libre.